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Un air d'instabilité plane au dessus de la Ligue 1 et globalement du foot français depuis de nombreuses saisons. Une étude de L'Équipe en association avec Opta révèle le classement des clubs français ayant connu le plus de changements d'entraîneurs sur les dix dernières années. Le FC Nantes décroche la palme avec 15 coachs différents, suivi de l'OM (14) et d'un trio à égalité composé de Rennes, Bordeaux et Lille (11 chacun).
Ces chiffres donnent le vertige. Nantes devance largement la concurrence avec une moyenne de 1,5 entraîneur par saison. L'ère Waldemar Kita illustre parfaitement cette instabilité chronique. Depuis son arrivée en 2007, le patron nantais a changé pas moins de 21 fois d'entraîneur. Des passages éclairs comme celui de Raymond Domenech (8 matches, 0% de victoires) ou Miguel Cardoso (8 matches, 12% de victoires) témoignent d'une gestion pour le moins chaotique.
L'OM n'est pas en reste avec ses 14 changements. Une instabilité qui reflète les turbulences marseillaises où la patience n'est jamais de mise, même si les choses avancent désormais dans le bon sens avec un Roberto De Zerbi qui semble être en harmonie avec les dirigeants Marseillais que sont Mehdi Benatia et Pablo Longoria. Le podium se complète avec le Stade Rennais, les Girondins de Bordeaux et le LOSC, tous à 11 mutations. Une rotation qui illustre les difficultés du football français moderne.
Le trio Lyon, Saint-Étienne et Montpellier ferme le top 8 avec 10 changements chacun. Même les clubs historiques n'échappent pas à cette fièvre du licenciement précoce. Troyes et Nice complètent ce classement peu glorieux avec 9 rotations sur la décennie.
L'Observatoire du football CIES confirme cette dérive : 61% des coachs en poste depuis moins d'un an en Ligue 1. Une précarité qui contraste avec la stabilité allemande ou espagnole.
Ces chiffres donnent le vertige. Nantes devance largement la concurrence avec une moyenne de 1,5 entraîneur par saison. L'ère Waldemar Kita illustre parfaitement cette instabilité chronique. Depuis son arrivée en 2007, le patron nantais a changé pas moins de 21 fois d'entraîneur. Des passages éclairs comme celui de Raymond Domenech (8 matches, 0% de victoires) ou Miguel Cardoso (8 matches, 12% de victoires) témoignent d'une gestion pour le moins chaotique.
L'OM n'est pas en reste avec ses 14 changements. Une instabilité qui reflète les turbulences marseillaises où la patience n'est jamais de mise, même si les choses avancent désormais dans le bon sens avec un Roberto De Zerbi qui semble être en harmonie avec les dirigeants Marseillais que sont Mehdi Benatia et Pablo Longoria. Le podium se complète avec le Stade Rennais, les Girondins de Bordeaux et le LOSC, tous à 11 mutations. Une rotation qui illustre les difficultés du football français moderne.
Le trio Lyon, Saint-Étienne et Montpellier ferme le top 8 avec 10 changements chacun. Même les clubs historiques n'échappent pas à cette fièvre du licenciement précoce. Troyes et Nice complètent ce classement peu glorieux avec 9 rotations sur la décennie.
L'Observatoire du football CIES confirme cette dérive : 61% des coachs en poste depuis moins d'un an en Ligue 1. Une précarité qui contraste avec la stabilité allemande ou espagnole.
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