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Justice est rendue ! Thierry Dailly, refondateur et ancien président du RWDM de 2015 à 2023, remporte une victoire éclatante dans son bras de fer juridique avec John Textor. Le tribunal néerlandophone de première instance de Bruxelles a tranché en faveur du dirigeant belge dans deux jugements distincts, selon le journaliste belge Loïc Woos. Récemment écarté de l'OL, Textor enchaine les déboires.
Les accusations de détournement balayées par la justice
L'affaire remonte à mai 2023, quand l'homme d'affaires américain avait limogé Dailly en l'accusant publiquement de "détournement des fonds du club" et de "fraude". Des accusations particulièrement graves que Textor avait détaillées dans un communiqué de dix pages, évoquant des "détournements des fonds du club, de l'abus de pouvoir d'entreprise, la perturbation de la gouvernance".
Thierry Dailly avait immédiatement contesté ces allégations, déclarant à BX1 : "C'est du n'importe quoi et ceux qui me connaissent le savent". Deux ans plus tard, la justice lui donne entièrement raison.
Le premier jugement, rendu en décembre 2024, a ordonné au RWDM de régler les dettes en suspens envers MFCL Consulting, la société de Thierry Dailly. Un second jugement, prononcé en avril 2025, a confirmé que l'ancien président avait encore des sommes à recevoir de la part de l'Américain.
Dans les deux cas, les accusations portées par John Textor ont été totalement écartées et jugées infondées. Plus révélateur encore : le propriétaire du RWDM n'a pas fait appel de ces décisions, ce qui rend les jugements définitifs et constitue une reconnaissance implicite des faits.
L'Américain a donc été condamné à verser les montants dus, majorés des intérêts et des frais de justice. Une lourde facture qui vient s'ajouter aux turbulences que traverse déjà John Textor, également propriétaire de l'Olympique Lyonnais et confronté à de multiples difficultés financières.
Pour Thierry Dailly, cette double victoire marque la fin d'un long combat pour restaurer son honneur. L'homme qui avait permis au RWDM de renaître de ses cendres en 2015 et de gravir tous les échelons jusqu'en première division belge peut désormais tourner la page de cette affaire.
Thierry Dailly avait immédiatement contesté ces allégations, déclarant à BX1 : "C'est du n'importe quoi et ceux qui me connaissent le savent". Deux ans plus tard, la justice lui donne entièrement raison.
Le premier jugement, rendu en décembre 2024, a ordonné au RWDM de régler les dettes en suspens envers MFCL Consulting, la société de Thierry Dailly. Un second jugement, prononcé en avril 2025, a confirmé que l'ancien président avait encore des sommes à recevoir de la part de l'Américain.
Dans les deux cas, les accusations portées par John Textor ont été totalement écartées et jugées infondées. Plus révélateur encore : le propriétaire du RWDM n'a pas fait appel de ces décisions, ce qui rend les jugements définitifs et constitue une reconnaissance implicite des faits.
L'Américain a donc été condamné à verser les montants dus, majorés des intérêts et des frais de justice. Une lourde facture qui vient s'ajouter aux turbulences que traverse déjà John Textor, également propriétaire de l'Olympique Lyonnais et confronté à de multiples difficultés financières.
Pour Thierry Dailly, cette double victoire marque la fin d'un long combat pour restaurer son honneur. L'homme qui avait permis au RWDM de renaître de ses cendres en 2015 et de gravir tous les échelons jusqu'en première division belge peut désormais tourner la page de cette affaire.
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