Samedi 30 août face à Lille (1-7), Sambou Soumano voyait son tir repoussé par Berke Ozer. Aiyegun Tosin sauvait l'honneur en suivant la frappe, mais le mal était fait. Première occasion manquée sur penalty pour les Merlus cette saison.
Dimanche 26 octobre à Angers, Tosin prenait ses responsabilités. Cette fois, pas de second ballon salvateur. Le Nigérian manquait le coche dans un match important pour le maintien qui se soldait par une défaite 2-0.
Dimanche 2 novembre à Bollaert, Mohamed Bamba ratait à son tour l'égalisation face à Lens. Sa frappe heurtait le poteau de Robin Risser à la 63e minute. Remplacé quelques instants plus tard, l'Ivoirien s'effondrait en larmes sur le banc, le visage enfoui dans son maillot.
Selon L'Équipe, seuls Rennes en 2015-2016 et Montpellier en 2019-2020 avaient réalisé cette contre-performance depuis vingt ans. Trois tireurs différents, trois échecs consécutifs, des munitions perdues qui plombent les ambitions de maintien des Bretons.
« Il y a un problème d'efficacité », regrettait Olivier Pantaloni après le revers lensois. Le technicien corse avait laissé Bamba sur le terrain pour qu'il tire le penalty, espérant qu'un but lui redonne confiance. « Peut-être faudrait-il être plus déterminé sur les penalties, moins chercher à placer et plus à frapper », analysait Laurent Abergel, le capitaine lorientais.
Face à ces échecs répétés, le FC Lorient doit trancher. Bamba, Soumano et Tosin ont tous échoué. Pablo Pagis, souvent cité, pourrait hériter de cette lourde responsabilité. Car dans la course au maintien, chaque point compte. Et ces six points potentiels envolés sur coups de pied arrêtés pourraient peser très lourd au moment des comptes.
Le prochain penalty sera scruté de près au Moustoir. Entre pression et traumatisme, celui qui s'avancera sur les onze mètres portera une charge mentale considérable. Dans le foot moderne, la réussite sur penalty oscille autour de 80%. Lorient affiche un inquiétant 0% cette saison.
Dimanche 26 octobre à Angers, Tosin prenait ses responsabilités. Cette fois, pas de second ballon salvateur. Le Nigérian manquait le coche dans un match important pour le maintien qui se soldait par une défaite 2-0.
Dimanche 2 novembre à Bollaert, Mohamed Bamba ratait à son tour l'égalisation face à Lens. Sa frappe heurtait le poteau de Robin Risser à la 63e minute. Remplacé quelques instants plus tard, l'Ivoirien s'effondrait en larmes sur le banc, le visage enfoui dans son maillot.
Selon L'Équipe, seuls Rennes en 2015-2016 et Montpellier en 2019-2020 avaient réalisé cette contre-performance depuis vingt ans. Trois tireurs différents, trois échecs consécutifs, des munitions perdues qui plombent les ambitions de maintien des Bretons.
« Il y a un problème d'efficacité », regrettait Olivier Pantaloni après le revers lensois. Le technicien corse avait laissé Bamba sur le terrain pour qu'il tire le penalty, espérant qu'un but lui redonne confiance. « Peut-être faudrait-il être plus déterminé sur les penalties, moins chercher à placer et plus à frapper », analysait Laurent Abergel, le capitaine lorientais.
Face à ces échecs répétés, le FC Lorient doit trancher. Bamba, Soumano et Tosin ont tous échoué. Pablo Pagis, souvent cité, pourrait hériter de cette lourde responsabilité. Car dans la course au maintien, chaque point compte. Et ces six points potentiels envolés sur coups de pied arrêtés pourraient peser très lourd au moment des comptes.
Le prochain penalty sera scruté de près au Moustoir. Entre pression et traumatisme, celui qui s'avancera sur les onze mètres portera une charge mentale considérable. Dans le foot moderne, la réussite sur penalty oscille autour de 80%. Lorient affiche un inquiétant 0% cette saison.


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