L'accueil
L'OGC Nice se rapproche d'une marque indélébile dans l'histoire de la Ligue Europa. Avec 18 matchs consécutifs sans victoire, les Aiglons rejoignent le Ludogorets Razgrad au sommet d'un classement qu'aucun club ne souhaite fréquenter.
Nice n'a pas existé face à Braga
La défaite contre Braga (0-1) le 12 décembre a scellé le sort européen des Niçois. Ce revers représente la 18e rencontre sans succès en Coupe d'Europe, dépassant le précédent record détenu par le LOSC entre 2014 et 2019. La série catastrophique se compose de 3 maigres nuls et 15 défaites.
Les chiffres révèlent une débandade sans précédent. Six défaites en six journées de Ligue Europa cette saison, avec zero point au classement. L'élimination est désormais mathématique avant même les deux dernières journées. Dans les couloirs de l'Allianz Riviera, le constat est sans appel : l'appel au boycott des supporters a été massivement suivi, avec à peine 4 000 spectateurs présents contre Braga, soit deux fois moins que contre Angers.
Les chiffres révèlent une débandade sans précédent. Six défaites en six journées de Ligue Europa cette saison, avec zero point au classement. L'élimination est désormais mathématique avant même les deux dernières journées. Dans les couloirs de l'Allianz Riviera, le constat est sans appel : l'appel au boycott des supporters a été massivement suivi, avec à peine 4 000 spectateurs présents contre Braga, soit deux fois moins que contre Angers.
Franck Haise face à la tempête : « Perdre huit matchs, ça ne plaît à personne »
L'entraîneur niçois assume pleinement la situation. « Perdre huit matchs, ça ne plaît à personne, qu'on soit sur le terrain ou dans le staff », a-t-il déclaré en conférence de presse. Cette série de huit défaites consécutives toutes compétitions confondues représente le pire bilan de l'histoire du club, dépassant le précédent record de 2013 sous Claude Puel.
Le technicien français tente de maintenir le cap malgré le contexte extra-sportif catastrophique. « Je suis là, je me bats », assure Franck Haise, qui a même écopé d'un carton jaune mérité sur le bord du terrain lors de la seconde période contre Braga. Ses choix sont limités : huit changements opérés dans le onze de départ n'ont rien changé à l'issue fatale. La première période a été particulièrement désastreuse, avec seulement 133 passes réussies contre 400 pour les Portugais et 32% de possession.
L'avenir immédiat s'annonce sombre. Dimanche, Nice se déplace à Lens, leader de Ligue 1, avec une équipe décimée moralement et qualitativement. La priorité est désormais le maintien en championnat, la Coupe d'Europe n'étant plus qu'un mauvais souvenir à effacer.
Le technicien français tente de maintenir le cap malgré le contexte extra-sportif catastrophique. « Je suis là, je me bats », assure Franck Haise, qui a même écopé d'un carton jaune mérité sur le bord du terrain lors de la seconde période contre Braga. Ses choix sont limités : huit changements opérés dans le onze de départ n'ont rien changé à l'issue fatale. La première période a été particulièrement désastreuse, avec seulement 133 passes réussies contre 400 pour les Portugais et 32% de possession.
L'avenir immédiat s'annonce sombre. Dimanche, Nice se déplace à Lens, leader de Ligue 1, avec une équipe décimée moralement et qualitativement. La priorité est désormais le maintien en championnat, la Coupe d'Europe n'étant plus qu'un mauvais souvenir à effacer.
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