L'accueil
Olivier Giroud aurait pu devenir le co-meilleur buteur de Ligue 1 dimanche contre Toulouse, mais l'attaquant français a préféré faire parler sa générosité. Alors que Lille obtenait un penalty crucial dans les dernières minutes du temps réglementaire, le champion du monde 2018 a cédé le ballon à Nabil Bentaleb pour l'égalisation.
"C'est lui qui devait tirer le penalty, mais quand l'arbitre est parti voir l'image, je lui ai demandé si je pouvais le tirer s'il était accordé", a révélé Bentaleb en zone mixte. Une demande que Giroud a acceptée sans hésitation.
"Il était d'accord, il me l'a gentiment donné et m'a donné l'opportunité de me préparer mentalement pendant de longues minutes", poursuit l'international algérien, visiblement touché par ce geste. Le penalty sera parfaitement transformé pour égaliser à 1-1 avant la victoire finale d'Ethan Mbappé dans le temps additionnel (2-1).
Bruno Genesio a salué cette attitude en conférence de presse : "Il y a des tireurs qui sont désignés, mais les matches appartiennent aux joueurs. Il y a des choses qu'on ressent sur le terrain, et ça, je ne peux pas intervenir là-dessus".
L'entraîneur lillois ajoute : "J'aurais dit la même chose si le penalty n'avait pas été transformé, ça montre qu'il y a des échanges et du respect". Un fair-play qui témoigne de l'excellente ambiance régnant dans le vestiaire des Dogues.
Cette scène résume parfaitement l'état d'esprit qui anime le LOSC depuis le début de saison. Bentaleb lui-même souligne cette mentalité collective : "Il y a un effectif qui est bien en place. On l'a vu sur pas mal de matches en début de saison, où les entrants ont fait énormément de bien".
Pour l'Algérien, cette philosophie porte ses fruits : "Si on a le bon état d'esprit, on peut accomplir de belles choses". Un discours qui se vérifie sur le terrain avec trois victoires en quatre journées et une place de dauphin derrière le PSG.
"C'est lui qui devait tirer le penalty, mais quand l'arbitre est parti voir l'image, je lui ai demandé si je pouvais le tirer s'il était accordé", a révélé Bentaleb en zone mixte. Une demande que Giroud a acceptée sans hésitation.
"Il était d'accord, il me l'a gentiment donné et m'a donné l'opportunité de me préparer mentalement pendant de longues minutes", poursuit l'international algérien, visiblement touché par ce geste. Le penalty sera parfaitement transformé pour égaliser à 1-1 avant la victoire finale d'Ethan Mbappé dans le temps additionnel (2-1).
Bruno Genesio a salué cette attitude en conférence de presse : "Il y a des tireurs qui sont désignés, mais les matches appartiennent aux joueurs. Il y a des choses qu'on ressent sur le terrain, et ça, je ne peux pas intervenir là-dessus".
L'entraîneur lillois ajoute : "J'aurais dit la même chose si le penalty n'avait pas été transformé, ça montre qu'il y a des échanges et du respect". Un fair-play qui témoigne de l'excellente ambiance régnant dans le vestiaire des Dogues.
Cette scène résume parfaitement l'état d'esprit qui anime le LOSC depuis le début de saison. Bentaleb lui-même souligne cette mentalité collective : "Il y a un effectif qui est bien en place. On l'a vu sur pas mal de matches en début de saison, où les entrants ont fait énormément de bien".
Pour l'Algérien, cette philosophie porte ses fruits : "Si on a le bon état d'esprit, on peut accomplir de belles choses". Un discours qui se vérifie sur le terrain avec trois victoires en quatre journées et une place de dauphin derrière le PSG.
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