L'accueil
Personne ne l'avait vraiment vu venir. Après un mercato estival dantesque avec près de 29 mouvements, le Racing Club de Lens occupe ce dimanche la deuxième place de Ligue 1 avec 19 points au compteur. Un exploit qui dépasse largement les prédictions les plus optimistes. Et le calendrier ne lui a fait aucun cadeau.
Lyon, Brest, Paris, Lille, Rennes et l'OM : voilà les adversaires qu'ont affrontés les Sang et Or en ce début de saison. Des équipes difficiles à manier, des formations ambitieuses, des cadors du championnat. Contre Rennes, les Lensois ont même dû jouer 90 minutes à 10 contre 11 après l'expulsion de Jonathan Gradit dès la 48e seconde. Résultat ? Un nul arraché au courage.
Lyon, Brest, Paris, Lille, Rennes et l'OM : voilà les adversaires qu'ont affrontés les Sang et Or en ce début de saison. Des équipes difficiles à manier, des formations ambitieuses, des cadors du championnat. Contre Rennes, les Lensois ont même dû jouer 90 minutes à 10 contre 11 après l'expulsion de Jonathan Gradit dès la 48e seconde. Résultat ? Un nul arraché au courage.
Pierre Sage, l'homme de la situation
L'arrivée de Pierre Sage sur le banc lensois cet été, après le départ de Will Still vers Southampton, était scrutée avec curiosité. Le technicien français a immédiatement imprimé sa patte. Une philosophie offensive assumée, portée par Florian Thauvin et les recrues Abdallah Sima et Odsonne Édouard.
Le mercato lensois a été l'un des plus agités de l'été. Neil El Aynaoui à l'AS Rome (23,5 M€) ou encore Facundo Medina à l'Olympique de Marseille (prêt payant à 2M€ assorti d'une obligation d'achat à 23M€) ont bouclé cette valse de départs de cadres entamés en janvier dernier. En face, la direction sportive menée par Jean-Louis Leca a recruté de manière intelligente en mixant expérience avec Florian Thauvin, Odsonne Edouard ou encore Matthieu Udol, à des paris sur la jeunesse prometteuse comme Samson Baidoo de Salzbourg (8 M€), Robin Risser de Strasbourg (3M€) ou encore Mamadou Sangaré du Rapid Vienne (8M€).
Sur le papier, la reconstruction semblait périlleuse. Sur le terrain, Lens brille. Cette 2e place provisoire est le fruit d'une ambition tactique claire : pressing agressif, aucun affolement et transitions rapides. La victoire face à l'OM samedi (2-1) en est l'illustration parfaite.
Alors, où s'arrêtera le RC Lens version 2025-2026 ? Si le PSG devrait à coup sûr mettre rapidement ses distances avec le peloton, une place dans le top 6 n'avait rien d'acquis avant la saison, et encore moins une place de dauphin. Les plus optimistes évoquaient une 5e ou 6e place. Aujourd'hui, les Sang et Or défient toutes les statistiques et bousculent la hiérarchie. Prochain défi : confirmer contre Metz et Lorient pour ancrer cette dynamique. Pierre Sage a trouvé la formule. Reste à la maintenir.
Le mercato lensois a été l'un des plus agités de l'été. Neil El Aynaoui à l'AS Rome (23,5 M€) ou encore Facundo Medina à l'Olympique de Marseille (prêt payant à 2M€ assorti d'une obligation d'achat à 23M€) ont bouclé cette valse de départs de cadres entamés en janvier dernier. En face, la direction sportive menée par Jean-Louis Leca a recruté de manière intelligente en mixant expérience avec Florian Thauvin, Odsonne Edouard ou encore Matthieu Udol, à des paris sur la jeunesse prometteuse comme Samson Baidoo de Salzbourg (8 M€), Robin Risser de Strasbourg (3M€) ou encore Mamadou Sangaré du Rapid Vienne (8M€).
Sur le papier, la reconstruction semblait périlleuse. Sur le terrain, Lens brille. Cette 2e place provisoire est le fruit d'une ambition tactique claire : pressing agressif, aucun affolement et transitions rapides. La victoire face à l'OM samedi (2-1) en est l'illustration parfaite.
Alors, où s'arrêtera le RC Lens version 2025-2026 ? Si le PSG devrait à coup sûr mettre rapidement ses distances avec le peloton, une place dans le top 6 n'avait rien d'acquis avant la saison, et encore moins une place de dauphin. Les plus optimistes évoquaient une 5e ou 6e place. Aujourd'hui, les Sang et Or défient toutes les statistiques et bousculent la hiérarchie. Prochain défi : confirmer contre Metz et Lorient pour ancrer cette dynamique. Pierre Sage a trouvé la formule. Reste à la maintenir.
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