Noa Lang, ailier du PSV Eindhoven, est annoncé dans les petits papiers de l'Olympique de Marseille afin d'être le pendant de Mason Greenwood. Un profil très intéressant, mais attention ! Interrogé sur RMC Sport, le journaliste Nicolas Vilas n’a pas caché son enthousiasme pour le profil du Néerlandais, tout en soulignant les risques d’un tel recrutement pour l’OM. « Noa Lang peut enflammer le Vélodrome, mais peut aussi mettre le feu à la Commanderie », résume le journaliste, conscient du caractère bien trempé du joueur.
Noa Lang, auteur de 14 buts et 13 passes décisives en 44 matchs cette saison, possède ce grain de folie qui manque parfois à l’OM pour franchir un cap. Vilas estime que son tempérament colle parfaitement à l’ADN marseillais : « Pour moi, il a un tempérament OM. Je kiffe ce genre de joueur », confie-t-il, séduit par sa capacité à faire basculer un match à lui seul.
Mais l’enthousiasme s’accompagne d’une mise en garde. Noa Lang n’est pas toujours facile à gérer, et son comportement a déjà fait débat aux Pays-Bas. « Il peut enflammer le Vélodrome, mais aussi te foutre le feu à la Commanderie », insiste Vilas, rappelant que l’arrivée d’un tel joueur implique une gestion humaine pointue, notamment pour préserver la cohésion du vestiaire marseillais.
La question de sa compatibilité avec Roberto De Zerbi, entraîneur de l’OM, reste en suspens. « Ils peuvent s’embrouiller de ouf, mais moi j’aime bien ça », sourit Vilas, qui voit dans ce duo un potentiel étincelant… ou explosif. Reste à savoir si le président de l'OM, Pablo Longoria, s'alignera sur les exigences financières du PSV estimées entre 25 et 30 millions d’euros, pour s’offrir ce pari à haut risque mais au potentiel énorme.
Noa Lang, auteur de 14 buts et 13 passes décisives en 44 matchs cette saison, possède ce grain de folie qui manque parfois à l’OM pour franchir un cap. Vilas estime que son tempérament colle parfaitement à l’ADN marseillais : « Pour moi, il a un tempérament OM. Je kiffe ce genre de joueur », confie-t-il, séduit par sa capacité à faire basculer un match à lui seul.
Mais l’enthousiasme s’accompagne d’une mise en garde. Noa Lang n’est pas toujours facile à gérer, et son comportement a déjà fait débat aux Pays-Bas. « Il peut enflammer le Vélodrome, mais aussi te foutre le feu à la Commanderie », insiste Vilas, rappelant que l’arrivée d’un tel joueur implique une gestion humaine pointue, notamment pour préserver la cohésion du vestiaire marseillais.
La question de sa compatibilité avec Roberto De Zerbi, entraîneur de l’OM, reste en suspens. « Ils peuvent s’embrouiller de ouf, mais moi j’aime bien ça », sourit Vilas, qui voit dans ce duo un potentiel étincelant… ou explosif. Reste à savoir si le président de l'OM, Pablo Longoria, s'alignera sur les exigences financières du PSV estimées entre 25 et 30 millions d’euros, pour s’offrir ce pari à haut risque mais au potentiel énorme.