Le mercato estival de l'OM vient de prendre un tournant inattendu dans le dossier Matthis Abline. Waldemar Kita, président du FC Nantes, a clairement fermé la porte aux Phocéens avec des déclarations fracassantes qui font l'effet d'une douche froide à Marseille.
"Si à Marseille ils pensent prendre Abline pour rien du tout, ils se trompent", a lâché le dirigeant nantais dans des propos rapportés par RMC Sport. Une sortie qui témoigne de l'agacement du patron des Canaris face aux méthodes marseillaises.
L'OM avait pourtant mis le paquet sur ce dossier prioritaire. Selon L'Équipe, les dirigeants phocéens ont transmis deux offres successives à Nantes : une première à 12M€ plus 3M€ de bonus, puis une seconde rehaussée à 15M€ hors bonus.
Toutes refusées par Waldemar Kita, qui valorise désormais son attaquant de 22 ans à 50 millions d'euros. "Il n'ira pas à l'OM, sauf s'ils paient une fortune, 50M€. Ils n'ont pas tant d'argent que ça", a-t-il asséné avec une pointe d'ironie.
Cette surenchère s'explique par la situation financière compliquée du FC Nantes. Le club doit impérativement générer 40 millions d'euros de ventes pour équilibrer son budget, selon les informations d'Ouest-France. Waldemar Kita a déjà injecté personnellement plusieurs millions d'euros cette saison pour éviter le dépôt de bilan.
L'effondrement des droits TV, passés de 30 à 6 millions d'euros, a fragilisé l'économie nantaise. Dans ce contexte, Matthis Abline, acheté 10 millions d'euros l'été dernier au Stade Rennais, représente un actif stratégique.
Le président nantais peut compter sur l'intérêt de clubs anglais pour faire monter les prix. Burnley, Sunderland et Brentford auraient déjà contacté l'entourage de Abline. West Ham serait même prêt à offrir plus de 20 millions d'euros.
Auteur de 9 buts en 34 matchs de Ligue 1 cette saison, Abline dispose d'un profil moderne et polyvalent qui séduit à l'étranger. Sa sélection récente avec les Espoirs français pour l'Euro en Slovaquie ne fait qu'augmenter sa cote sur le marché.
Kita a visiblement décidé de jouer la carte de l'intransigeance, préférant attendre une offre XXL plutôt que de brader sa pépite offensive pour réduire le déficit.
"Si à Marseille ils pensent prendre Abline pour rien du tout, ils se trompent", a lâché le dirigeant nantais dans des propos rapportés par RMC Sport. Une sortie qui témoigne de l'agacement du patron des Canaris face aux méthodes marseillaises.
L'OM avait pourtant mis le paquet sur ce dossier prioritaire. Selon L'Équipe, les dirigeants phocéens ont transmis deux offres successives à Nantes : une première à 12M€ plus 3M€ de bonus, puis une seconde rehaussée à 15M€ hors bonus.
Toutes refusées par Waldemar Kita, qui valorise désormais son attaquant de 22 ans à 50 millions d'euros. "Il n'ira pas à l'OM, sauf s'ils paient une fortune, 50M€. Ils n'ont pas tant d'argent que ça", a-t-il asséné avec une pointe d'ironie.
Cette surenchère s'explique par la situation financière compliquée du FC Nantes. Le club doit impérativement générer 40 millions d'euros de ventes pour équilibrer son budget, selon les informations d'Ouest-France. Waldemar Kita a déjà injecté personnellement plusieurs millions d'euros cette saison pour éviter le dépôt de bilan.
L'effondrement des droits TV, passés de 30 à 6 millions d'euros, a fragilisé l'économie nantaise. Dans ce contexte, Matthis Abline, acheté 10 millions d'euros l'été dernier au Stade Rennais, représente un actif stratégique.
Le président nantais peut compter sur l'intérêt de clubs anglais pour faire monter les prix. Burnley, Sunderland et Brentford auraient déjà contacté l'entourage de Abline. West Ham serait même prêt à offrir plus de 20 millions d'euros.
Auteur de 9 buts en 34 matchs de Ligue 1 cette saison, Abline dispose d'un profil moderne et polyvalent qui séduit à l'étranger. Sa sélection récente avec les Espoirs français pour l'Euro en Slovaquie ne fait qu'augmenter sa cote sur le marché.
Kita a visiblement décidé de jouer la carte de l'intransigeance, préférant attendre une offre XXL plutôt que de brader sa pépite offensive pour réduire le déficit.