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Poissy ou Parc des Princes ? Tout se jouera aux municipales !
Le feuilleton du futur stade du PSG vient de prendre un nouveau tournant. Daniel Riolo a lâché une bombe mercredi soir dans l'After Foot sur RMC. Et l'info fait trembler les travées du Parc des Princes : tout se jouera lors des municipales parisiennes de mars 2026.
Selon Daniel Riolo, la stratégie est limpide. « C'est quasi acté pour Poissy si ça tourne mal à l'élection municipale », a-t-il déclaré dans l'émission. Traduction : si Anne Hidalgo ou un de ses héritiers socialistes remporte la mairie, direction les Yvelines. Le PSG y construira son nouveau temple, avec maintien du Parc pour les féminines, la Youth League, les événements corporate et les concerts.
Mais le scénario inverse existe. « Si ça tourne bien, on reste au Parc des Princes avec un élargissement à 53 000 places ». Un « ça tourne bien » qui fait référence à une victoire de Rachida Dati, candidate LR ultra-favorable au maintien du club dans son antre historique. La ministre de la Culture n'a jamais caché sa proximité avec le dossier, martelant que « le PSG doit rester à Paris ».
Les élections municipales sont donc attendues avec impatience du côté du Qatar Sports Investments. La décision finale sur le site définitif ne sera pas prise avant l'automne 2026, soit plusieurs mois après le scrutin. Le timing n'a rien d'un hasard. Le PSG attend de voir qui s'installera à l'Hôtel de Ville avant de dégainer.
Le club a présélectionné deux sites : Poissy et Massy. Mais le premier semble tenir la corde. Reste que tout peut basculer au printemps. Entre projet immobilier XXL en banlieue et agrandissement modeste du Parc, le destin du PSG se décidera dans les urnes parisiennes.
Selon Daniel Riolo, la stratégie est limpide. « C'est quasi acté pour Poissy si ça tourne mal à l'élection municipale », a-t-il déclaré dans l'émission. Traduction : si Anne Hidalgo ou un de ses héritiers socialistes remporte la mairie, direction les Yvelines. Le PSG y construira son nouveau temple, avec maintien du Parc pour les féminines, la Youth League, les événements corporate et les concerts.
Mais le scénario inverse existe. « Si ça tourne bien, on reste au Parc des Princes avec un élargissement à 53 000 places ». Un « ça tourne bien » qui fait référence à une victoire de Rachida Dati, candidate LR ultra-favorable au maintien du club dans son antre historique. La ministre de la Culture n'a jamais caché sa proximité avec le dossier, martelant que « le PSG doit rester à Paris ».
Les élections municipales sont donc attendues avec impatience du côté du Qatar Sports Investments. La décision finale sur le site définitif ne sera pas prise avant l'automne 2026, soit plusieurs mois après le scrutin. Le timing n'a rien d'un hasard. Le PSG attend de voir qui s'installera à l'Hôtel de Ville avant de dégainer.
Le club a présélectionné deux sites : Poissy et Massy. Mais le premier semble tenir la corde. Reste que tout peut basculer au printemps. Entre projet immobilier XXL en banlieue et agrandissement modeste du Parc, le destin du PSG se décidera dans les urnes parisiennes.
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