L'accueil
Le Stade Pierre-Mauroy a vécu une soirée d'émotions extrêmes jeudi soir. Menés 3-0 à la pause, les Dogues ont bien failli renverser le PAOK Salonique avant de céder 4-3 au terme d'un match de folie. Premier revers européen pour le LOSC cette saison, première défaite amère. Au micro de Canal+, Bruno Genesio n'a cherché aucune excuse. L'entraîneur lillois a pointé du doigt ses propres choix tactiques et s'est livré à une autocritique sans concession.
Une première période catastrophique a fait plonger Lille. Souhaliho Meïté, ancien Lillois, a ouvert le score dès la 18e minute. Andrija Zivkovic a doublé la mise cinq minutes plus tard avant que Giannis Konstantelias n'enfonce le clou juste avant la pause. Les remplaçants Chancel Mbemba et Thomas Meunier, entrés à la mi-temps, ont permis aux Dogues de réagir. Benjamin André a réduit l'écart, puis Hamza Igamane a inscrit un doublé magnifique pour ramener Lille à une longueur. Tandis que Zivkovic avait corsé l'addition d'un second but personnel.
En conférence de presse d'après match, Bruno Genesio a assumé l'entière responsabilité de cette débâcle. "Je m'en veux parce que mes choix n'ont pas été bons, c'est déjà une remise en question personnelle, très importante, et après on prendra le temps d'analyser un peu plus froidement le match en lui-même", a déclaré le technicien français.
"Je n'aime pas le sentiment de colère. Ça n'apporte pas grand-chose dans ces situations. Je suis surtout déçu et frustré", a poursuivi Genesio. Alors que son président Olivier Létang avait violemment contesté l'arbitrage à la mi-temps, allant jusqu'à écrire au président de l'UEFA, le coach lillois a refusé de se réfugier derrière les décisions arbitrales.
Une première période catastrophique a fait plonger Lille. Souhaliho Meïté, ancien Lillois, a ouvert le score dès la 18e minute. Andrija Zivkovic a doublé la mise cinq minutes plus tard avant que Giannis Konstantelias n'enfonce le clou juste avant la pause. Les remplaçants Chancel Mbemba et Thomas Meunier, entrés à la mi-temps, ont permis aux Dogues de réagir. Benjamin André a réduit l'écart, puis Hamza Igamane a inscrit un doublé magnifique pour ramener Lille à une longueur. Tandis que Zivkovic avait corsé l'addition d'un second but personnel.
En conférence de presse d'après match, Bruno Genesio a assumé l'entière responsabilité de cette débâcle. "Je m'en veux parce que mes choix n'ont pas été bons, c'est déjà une remise en question personnelle, très importante, et après on prendra le temps d'analyser un peu plus froidement le match en lui-même", a déclaré le technicien français.
"Je n'aime pas le sentiment de colère. Ça n'apporte pas grand-chose dans ces situations. Je suis surtout déçu et frustré", a poursuivi Genesio. Alors que son président Olivier Létang avait violemment contesté l'arbitrage à la mi-temps, allant jusqu'à écrire au président de l'UEFA, le coach lillois a refusé de se réfugier derrière les décisions arbitrales.
Une première mi-temps indigne de Lille
L'ancien entraîneur du Stade Rennais n'a pas épargné ses joueurs non plus. "On a fait une première mi-temps indigne d'une équipe qui se veut ambitieuse dans cette compétition. On n'a pas respecté la compétition, on n'a que ce qu'on mérite", a-t-il analysé sans détour.
Genesio a justifié son turnover par la volonté d'intégrer des joueurs moins utilisés comme Ugo Raghouber, titulaire pour la première fois. "J'ai un effectif de qualité. Je pensais qu'il était possible d'intégrer des joueurs qui ont moins joué tout en maintenant un niveau acceptable. Nous avons oublié certaines valeurs en première mi-temps", a-t-il expliqué.
Une défaite cruelle qui n'entache pas les chances de qualification du LOSC, 11e au classement avec six points, mais qui sonne comme un sérieux avertissement avant le déplacement à Belgrade le 6 novembre prochain.
Genesio a justifié son turnover par la volonté d'intégrer des joueurs moins utilisés comme Ugo Raghouber, titulaire pour la première fois. "J'ai un effectif de qualité. Je pensais qu'il était possible d'intégrer des joueurs qui ont moins joué tout en maintenant un niveau acceptable. Nous avons oublié certaines valeurs en première mi-temps", a-t-il expliqué.
Une défaite cruelle qui n'entache pas les chances de qualification du LOSC, 11e au classement avec six points, mais qui sonne comme un sérieux avertissement avant le déplacement à Belgrade le 6 novembre prochain.
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