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Il y a des joueurs qui disposent d'un vrai potentiel, mais qui mettent du temps à percer. Alan Virginius, 22 ans, est de ceux-là. Prêté par le LOSC aux Young Boys de Berne, l’ailier formé à Sochaux a trouvé en Suisse un terrain de jeu à sa mesure : 45 matchs, 7 buts, 4 passes décisives, et l’impression que la Super League n’est qu’une étape. Les Young Boys, séduits, confirment des discussions avancées avec Lille pour prolonger l’aventure, mais l’affaire est loin d’être pliée.
Car en coulisses, la concurrence s’organise. Selon L’Équipe, le Genoa a fait de Virginius une priorité, poussé par un Patrick Vieira convaincu que le Français peut dynamiter la Serie A. Un coach qui pèse, un championnat qui séduit, et un projet qui pourrait bien faire basculer le destin du joueur. D’autres clubs, anglais et français, flairent aussi la bonne affaire, preuve que le garçon n’a rien perdu de son potentiel, malgré des débuts timides à Lille.
Le LOSC, lui, observe, prêt à discuter d’un prêt avec option d’achat ou d’un transfert sec, selon l’offre la plus alléchante. Les Young Boys, eux, rêvent de garder leur dynamiteur, quitte à casser la tirelire. Genoa, Saint-Étienne, Lorient, Sunderland : la liste s’allonge, les enchères montent, et Virginius n’a jamais semblé aussi courtisé.
Reste à savoir où l’ailier trouvera enfin la stabilité et le temps de jeu qui lui permettra de franchir un nouveau cap. Mais une chose est sûre : le mercato d’Alan Virginius n’a pas fini de faire parler.
Car en coulisses, la concurrence s’organise. Selon L’Équipe, le Genoa a fait de Virginius une priorité, poussé par un Patrick Vieira convaincu que le Français peut dynamiter la Serie A. Un coach qui pèse, un championnat qui séduit, et un projet qui pourrait bien faire basculer le destin du joueur. D’autres clubs, anglais et français, flairent aussi la bonne affaire, preuve que le garçon n’a rien perdu de son potentiel, malgré des débuts timides à Lille.
Le LOSC, lui, observe, prêt à discuter d’un prêt avec option d’achat ou d’un transfert sec, selon l’offre la plus alléchante. Les Young Boys, eux, rêvent de garder leur dynamiteur, quitte à casser la tirelire. Genoa, Saint-Étienne, Lorient, Sunderland : la liste s’allonge, les enchères montent, et Virginius n’a jamais semblé aussi courtisé.
Reste à savoir où l’ailier trouvera enfin la stabilité et le temps de jeu qui lui permettra de franchir un nouveau cap. Mais une chose est sûre : le mercato d’Alan Virginius n’a pas fini de faire parler.
