Valentin Rongier, ancien milieu de terrain de l'OM, aujourd'hui au Stade Rennais, a livré des confidences saisissantes sur les difficultés rencontrées dans sa vie quotidienne à Marseille. Dans un entretien accordé à beIN Sports, Rongier dévoile l'envers du décor de la passion marseillaise.
Atmosphère oppressante à Marseille
"Passer un moment en famille, aller faire les magasins, aller au marché, acheter mon pain frais, moi j'aime bien... À Marseille je ne le faisais plus, parfois ça devenait un peu pesant", confie le joueur de 30 ans. Une réalité qui témoigne de l'intensité particulière qui entoure les joueurs olympiens au quotidien.
Rongier explique avoir dû "calculer quand est-ce qu'il pouvait sortir", révélant une pression constante pesant sur sa famille. Cette vigilance permanente s'accentuait particulièrement après les défaites : "Si jamais tu perdais, tu savais que ça pouvait être compliqué, puisque la passion est tellement importante...".
Rongier explique avoir dû "calculer quand est-ce qu'il pouvait sortir", révélant une pression constante pesant sur sa famille. Cette vigilance permanente s'accentuait particulièrement après les défaites : "Si jamais tu perdais, tu savais que ça pouvait être compliqué, puisque la passion est tellement importante...".
Rongier a retrouvé de la sérénité à Rennes
Transféré à Rennes pour 5,5 millions d'euros cet été, l'ancien capitaine marseillais savoure désormais une existence plus apaisée. "À Marseille, la passion des gens est exceptionnelle mais peut parfois être difficile à vivre. C'est exceptionnel quand ça gagne, et quand ça perd c'est très oppressant", analyse-t-il avec recul.
Le contraste avec sa nouvelle vie bretonne est saisissant : "J'étais mercredi au marché avec ma conjointe et mon fils, et on se baladait relativement tranquillement. Ce sont des moments que j'avais oubliés, et je ne vais pas mentir, c'est agréable pour eux aussi !"
Malgré ces révélations, Rongier tient à nuancer : "Je leur en veux pas mais c'est vrai qu'ici (à Rennes), j'ai trouvé un peu plus de calme, et ça fait du bien." L'ancien Marseillais, qui a disputé 196 matchs sous le maillot olympien entre 2019 et 2025, garde une reconnaissance intacte envers la ferveur phocéenne, tout en assumant son besoin de tranquillité familiale.
Le contraste avec sa nouvelle vie bretonne est saisissant : "J'étais mercredi au marché avec ma conjointe et mon fils, et on se baladait relativement tranquillement. Ce sont des moments que j'avais oubliés, et je ne vais pas mentir, c'est agréable pour eux aussi !"
Malgré ces révélations, Rongier tient à nuancer : "Je leur en veux pas mais c'est vrai qu'ici (à Rennes), j'ai trouvé un peu plus de calme, et ça fait du bien." L'ancien Marseillais, qui a disputé 196 matchs sous le maillot olympien entre 2019 et 2025, garde une reconnaissance intacte envers la ferveur phocéenne, tout en assumant son besoin de tranquillité familiale.