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Cinq buts en neuf matchs. Une dynamique offensive retrouvée. Un rôle central dans le système niçois. Sofiane Diop enchaîne depuis le début de saison avec l'OGC Nice. Buteur à Rennes dimanche (1-2), l'ailier franco-marocain pourrait se croire arrivé au sommet. Erreur. Son entraîneur Franck Haise ne voit pas les choses sous cet angle. Loin de là. À la veille du choc face à Lille, l'ancien technicien du RC Lens a recadré son numéro 10 avec franchise.
Franck Haise exige davantage de régularité de Sofiane Diop
Lors de sa conférence de presse de mardi, Franck Haise n'a pas mâché ses mots concernant Sofiane Diop. Le coach niçois a glissé une pique à peine voilée : « Ce n'est pas parce qu'il a marqué trois ou quatre fois que mon message est passé. Mon message est sur la régularité et il n'est pas encore passé. S'il était passé, il aurait fait une meilleure seconde période à Rennes ».
Un coup de semonce qui en dit long sur les attentes de l'entraîneur. Malgré cinq buts et une passe décisive en neuf rencontres de Ligue 1, Diop ne satisfait pas pleinement son coach. En cause : des prestations en dents de scie, à l'image de son match à Rennes où il a brillé en première période avant de s'effacer après la pause. Un reproche récurrent dans la carrière du joueur de 25 ans, souvent critiqué pour son manque de constance malgré un talent indéniable.
Le message est passé. Reste à savoir si le principal intéressé saura y répondre. Ce mercredi soir à 19h, Sofiane Diop retrouve l'Allianz Riviera pour accueillir le LOSC, cinquième au classement avec 17 points. Un adversaire solide, en pleine forme après sa démonstration face à Metz (6-1) le week-end dernier. Pour Nice, huitième avec 14 points, l'enjeu est clair : enchaîner une troisième rencontre sans défaite en championnat et se rapprocher des places européennes.
Repositionné dans un rôle hybride par Franck Haise — « faux neuf », « faux dix », « faux huit », parfois même « faux six » selon le technicien lui-même —, Diop dispose de toutes les clés pour briller. Sa capacité à fixer les défenses, ses décrochages intelligents et sa science du but lui offrent une liberté tactique rare. Mais encore faut-il qu'il la mette au service du collectif pendant 90 minutes.
Car si les chiffres impressionnent, les performances globales laissent parfois apparaître des zones d'ombre. Ces temps morts qui irritent Haise. Ces secondes périodes anonymes qui ternissent l'éclat des premières. Cette incapacité, encore, à tenir la distance sur l'intégralité d'une rencontre.
Le duel contre Lille sera donc scruté de près. Sofiane Diop peut-il enfin apporter cette régularité réclamée par son coach ? Peut-il enchaîner deux mi-temps au même niveau d'intensité ? La réponse ce soir. En attendant, Franck Haise aura au moins le mérite d'avoir été cash.
Un coup de semonce qui en dit long sur les attentes de l'entraîneur. Malgré cinq buts et une passe décisive en neuf rencontres de Ligue 1, Diop ne satisfait pas pleinement son coach. En cause : des prestations en dents de scie, à l'image de son match à Rennes où il a brillé en première période avant de s'effacer après la pause. Un reproche récurrent dans la carrière du joueur de 25 ans, souvent critiqué pour son manque de constance malgré un talent indéniable.
Le message est passé. Reste à savoir si le principal intéressé saura y répondre. Ce mercredi soir à 19h, Sofiane Diop retrouve l'Allianz Riviera pour accueillir le LOSC, cinquième au classement avec 17 points. Un adversaire solide, en pleine forme après sa démonstration face à Metz (6-1) le week-end dernier. Pour Nice, huitième avec 14 points, l'enjeu est clair : enchaîner une troisième rencontre sans défaite en championnat et se rapprocher des places européennes.
Repositionné dans un rôle hybride par Franck Haise — « faux neuf », « faux dix », « faux huit », parfois même « faux six » selon le technicien lui-même —, Diop dispose de toutes les clés pour briller. Sa capacité à fixer les défenses, ses décrochages intelligents et sa science du but lui offrent une liberté tactique rare. Mais encore faut-il qu'il la mette au service du collectif pendant 90 minutes.
Car si les chiffres impressionnent, les performances globales laissent parfois apparaître des zones d'ombre. Ces temps morts qui irritent Haise. Ces secondes périodes anonymes qui ternissent l'éclat des premières. Cette incapacité, encore, à tenir la distance sur l'intégralité d'une rencontre.
Le duel contre Lille sera donc scruté de près. Sofiane Diop peut-il enfin apporter cette régularité réclamée par son coach ? Peut-il enchaîner deux mi-temps au même niveau d'intensité ? La réponse ce soir. En attendant, Franck Haise aura au moins le mérite d'avoir été cash.
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