Samedi à Angers, un premier froid est apparu entre Sébastien Pocognoli et Ansu Fati. Remplacé par Takumi Minamino à la 70e minute lors du match nul 1-1, l'attaquant espagnol n'a pas apprécié. Il a quitté le terrain sans regarder ni saluer son nouvel entraîneur, provoquant un regard noir du Belge. Trois jours plus tard, le nouveau coach de l'AS Monaco a tenu à clarifier la situation. « Je lui ai parlé après le match et il a réagi de la bonne manière », a t'il confié dans des propos relayés par Nice Matin.
Pour Pocognoli, l'incident est déjà derrière lui. « Qu'un joueur soit déçu de sortir, c'est normal, mais il y a toujours une idée médicale ou tactique quand il y a un remplacement. Au-delà de la réaction qui est maladroite, cela me donne des enseignements concernant ce qu'il faut travailler avec certains joueurs ».
Le technicien monégasque pointe le « manque de contrôle émotionnel » de Fati, mais refuse de dramatiser. « Je ne suis pas un coach qui se ferme sur la réaction d'un joueur, aussi vite que le garçon adopte la bonne attitude le lendemain à l'entraînement. Ça a été le cas et pour moi il n'y a pas d'affaire. Ça ne va pas plus loin », assure-t-il.
Cette première sortie médiatique tendue s'ajoute aux difficultés du début de mandat de Pocognoli. Pour son premier match officiel sur le banc monégasque, l'ancien coach de l'Union Saint-Gilloise a vu Monaco perdre les trois points dans les dernières minutes face à Angers. Les Monégasques avaient ouvert le score par Balogun (72e) avant de se faire rejoindre par Chérif à cinq minutes du terme (85e).
Pour Pocognoli, l'incident est déjà derrière lui. « Qu'un joueur soit déçu de sortir, c'est normal, mais il y a toujours une idée médicale ou tactique quand il y a un remplacement. Au-delà de la réaction qui est maladroite, cela me donne des enseignements concernant ce qu'il faut travailler avec certains joueurs ».
Le technicien monégasque pointe le « manque de contrôle émotionnel » de Fati, mais refuse de dramatiser. « Je ne suis pas un coach qui se ferme sur la réaction d'un joueur, aussi vite que le garçon adopte la bonne attitude le lendemain à l'entraînement. Ça a été le cas et pour moi il n'y a pas d'affaire. Ça ne va pas plus loin », assure-t-il.
Cette première sortie médiatique tendue s'ajoute aux difficultés du début de mandat de Pocognoli. Pour son premier match officiel sur le banc monégasque, l'ancien coach de l'Union Saint-Gilloise a vu Monaco perdre les trois points dans les dernières minutes face à Angers. Les Monégasques avaient ouvert le score par Balogun (72e) avant de se faire rejoindre par Chérif à cinq minutes du terme (85e).