Humilié à domicile par le Toulouse FC (0-3) ce samedi soir, le Paris FC continue sa chute libre au classement. Une débâcle de trop pour le meneur de jeu Ilan Kebbal, qui a laissé éclater sa colère au micro du diffuseur Ligue 1+ quelques minutes après le coup de sifflet final.
Une fébrilité défensive chronique au PFC et des erreurs qui se répètent
Si le gardien Kevin Trapp a retardé l'échéance en repoussant un penalty de Djibril Sidibé en début de match, le verrou parisien a fini par sauter, exposant une nouvelle fois les lacunes criantes de l'arrière-garde. Pour Ilan Kebbal, le constat est sans appel : le problème est profond et dure depuis le début de la saison.
« Ça fait 16 journées qu’on prend les mêmes buts, qu’on fait les mêmes erreurs », a martelé l'international algérien, exaspéré par la naïveté de son équipe. Selon lui, le mal est profond et mental : « On joue avec la peur. Ils ne viennent pas tant que ça dans la surface, mais dès qu'ils viennent, on panique et on prend des buts. » Cette peur de mal faire tétanise une équipe qui semble avoir perdu ses repères collectifs.
« Ça fait 16 journées qu’on prend les mêmes buts, qu’on fait les mêmes erreurs », a martelé l'international algérien, exaspéré par la naïveté de son équipe. Selon lui, le mal est profond et mental : « On joue avec la peur. Ils ne viennent pas tant que ça dans la surface, mais dès qu'ils viennent, on panique et on prend des buts. » Cette peur de mal faire tétanise une équipe qui semble avoir perdu ses repères collectifs.
Le spectre de la relégation plane sur un Paris FC en crise de résultats
Les chiffres donnent raison à l'inquiétude du numéro 10 parisien. Avec cette nouvelle défaite, le PFC n'a remporté qu'un seul de ses neuf derniers matchs de Ligue 1 (5 défaites, 3 nuls). Une spirale négative qui fait glisser le club de la capitale à une dangereuse 14e place, à portée de fusil de la zone rouge.
Kebbal n'a pas hésité à pointer les limites de l'effectif actuel, qualifiant la prestation de « méritée » pour Toulouse. « On est très limités, techniquement, offensivement, défensivement », a-t-il lâché avec une lucidité brutale. Si une réaction immédiate n'a pas lieu, l'avertissement est clair : « Si on ne se réveille pas... ça va commencer à devenir assez grave. »
Le message est passé : au Paris FC, l'heure n'est plus aux excuses, mais à l'urgence de points pour éviter la catastrophe industrielle.
Kebbal n'a pas hésité à pointer les limites de l'effectif actuel, qualifiant la prestation de « méritée » pour Toulouse. « On est très limités, techniquement, offensivement, défensivement », a-t-il lâché avec une lucidité brutale. Si une réaction immédiate n'a pas lieu, l'avertissement est clair : « Si on ne se réveille pas... ça va commencer à devenir assez grave. »
Le message est passé : au Paris FC, l'heure n'est plus aux excuses, mais à l'urgence de points pour éviter la catastrophe industrielle.


L'accueil
