Luis Enrique a été catégorique lors de sa conférence de presse de vendredi avant d'affronter l'AJ Auxerre ce samedi : malgré la cascade de blessures qui touche le PSG, l'entraîneur espagnol n'a aucun regret concernant le mercato estival malgré les critiques qui commencent à pleuvoir. Une position assumée avec une comparaison surprenante qui fait déjà le buzz.
Interrogé sur d'éventuels regrets après un mercato où le PSG n'a recruté que trois joueurs (Chevalier, Marin, Zabarnyi), Luis Enrique a répondu d'un "Non ! Non !" ferme. Sa justification a fait mouche : "Ce n'est pas facile d'avoir des joueurs pour le PSG. Ce n'est pas comme aller chez Auchan".
L'ancien sélectionneur de l'Espagne a détaillé sa philosophie : "Quand on veut un joueur il faut faire attention à tout. Comme la personnalité, le prix demandé car si c'est trop cher, il y a de la pression pour le joueur". Une approche qui privilégie la qualité sur la quantité.
"Il faut être calme. Aujourd'hui, je ne veux rien changer ! Dans 1 mois ? Je ne sais pas mais aujourd'hui rien !", a-t-il martelé avec conviction.
Cette prise de position intervient alors que le PSG fait face à une véritable hécatombe. Marquinhos (quadriceps), João Neves, Désiré Doué et Ousmane Dembélé sont tous à l'infirmerie avant la réception d'Auxerre ce samedi.
Pourtant, Luis Enrique refuse de céder à la panique : "Les blessures sont normales parce qu'il y a des impacts et il faut savoir gérer ça. Je ne suis pas du tout préoccupé". Le technicien mise sur la polyvalence de son effectif et la montée des jeunes du centre de formation.
"C'est beau de voir leur espoir quand ils viennent dans le vestiaire. Demain, ils peuvent aider l'équipe", confie-t-il à propos des titis parisiens, solution de secours privilégiée.
Une stratégie qui divise mais que Luis Enrique compte bien maintenir, au moins jusqu'au prochain mercato.
Interrogé sur d'éventuels regrets après un mercato où le PSG n'a recruté que trois joueurs (Chevalier, Marin, Zabarnyi), Luis Enrique a répondu d'un "Non ! Non !" ferme. Sa justification a fait mouche : "Ce n'est pas facile d'avoir des joueurs pour le PSG. Ce n'est pas comme aller chez Auchan".
L'ancien sélectionneur de l'Espagne a détaillé sa philosophie : "Quand on veut un joueur il faut faire attention à tout. Comme la personnalité, le prix demandé car si c'est trop cher, il y a de la pression pour le joueur". Une approche qui privilégie la qualité sur la quantité.
"Il faut être calme. Aujourd'hui, je ne veux rien changer ! Dans 1 mois ? Je ne sais pas mais aujourd'hui rien !", a-t-il martelé avec conviction.
Cette prise de position intervient alors que le PSG fait face à une véritable hécatombe. Marquinhos (quadriceps), João Neves, Désiré Doué et Ousmane Dembélé sont tous à l'infirmerie avant la réception d'Auxerre ce samedi.
Pourtant, Luis Enrique refuse de céder à la panique : "Les blessures sont normales parce qu'il y a des impacts et il faut savoir gérer ça. Je ne suis pas du tout préoccupé". Le technicien mise sur la polyvalence de son effectif et la montée des jeunes du centre de formation.
"C'est beau de voir leur espoir quand ils viennent dans le vestiaire. Demain, ils peuvent aider l'équipe", confie-t-il à propos des titis parisiens, solution de secours privilégiée.
Une stratégie qui divise mais que Luis Enrique compte bien maintenir, au moins jusqu'au prochain mercato.