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Le couperet vient de tomber. Selon L'Équipe, la direction de l'arbitrage de l'UEFA, pilotée par l'Italien Roberto Rosetti, ne remet pas en cause la décision de Nikola Dabanovic lors du match fou entre le LOSC et le PAOK Salonique (3-4). Une position qui risque de raviver la colère des Nordistes après une soirée déjà marquée par les foudres d'Olivier Létang contre l'arbitrage.
Le penalty réclamé par Lille en première période après un tirage de maillot sur Mathias Fernandez-Pardo ne constituait pas une « faute flagrante », estime l'instance européenne. La direction arbitrale considère que « les deux décisions (siffler ou ne pas siffler penalty) étaient possibles ».
Nikola Dabanovic ne sera donc pas sanctionné pour son choix de maintenir sa décision initiale malgré la consultation de la VAR. Une position qui valide l'appréciation du Monténégrin sur cette action litigieuse survenue à la 39e minute, juste avant le troisième but grec qui avait achevé la première période lilloise.
L'UEFA estime que « le tirage de maillot de Tomasz Kedziora sur Matias Fernandez-Pardo ne constitue pas une faute flagrante et que la pièce pouvait tomber de n'importe quel côté ».
Ironie du sort : alors que l'arbitre sort blanchi de cette polémique, c'est désormais Olivier Létang qui risque gros. Le président lillois, qui avait apostrophé Dabanovic à la mi-temps en affirmant avoir « déjà écrit à Monsieur Ceferin », pourrait être sévèrement sanctionné par l'UEFA.
Une nouvelle sanction ferait suite à celle d'un match ferme infligée par la LFP quelques jours plus tôt pour des propos similaires contre l'arbitrage français. Le LOSC se retrouve ainsi doublement pénalisé : sportivement après une défaite cruelle, et potentiellement disciplinairement avec son président dans le collimateur de l'UEFA.
Le penalty réclamé par Lille en première période après un tirage de maillot sur Mathias Fernandez-Pardo ne constituait pas une « faute flagrante », estime l'instance européenne. La direction arbitrale considère que « les deux décisions (siffler ou ne pas siffler penalty) étaient possibles ».
Nikola Dabanovic ne sera donc pas sanctionné pour son choix de maintenir sa décision initiale malgré la consultation de la VAR. Une position qui valide l'appréciation du Monténégrin sur cette action litigieuse survenue à la 39e minute, juste avant le troisième but grec qui avait achevé la première période lilloise.
L'UEFA estime que « le tirage de maillot de Tomasz Kedziora sur Matias Fernandez-Pardo ne constitue pas une faute flagrante et que la pièce pouvait tomber de n'importe quel côté ».
Ironie du sort : alors que l'arbitre sort blanchi de cette polémique, c'est désormais Olivier Létang qui risque gros. Le président lillois, qui avait apostrophé Dabanovic à la mi-temps en affirmant avoir « déjà écrit à Monsieur Ceferin », pourrait être sévèrement sanctionné par l'UEFA.
Une nouvelle sanction ferait suite à celle d'un match ferme infligée par la LFP quelques jours plus tôt pour des propos similaires contre l'arbitrage français. Le LOSC se retrouve ainsi doublement pénalisé : sportivement après une défaite cruelle, et potentiellement disciplinairement avec son président dans le collimateur de l'UEFA.
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