Lilian Brassier a fait preuve d'un gros mental
"À l'OM, chaque entraînement était un examen surprise." Lilian Brassier (25 ans) résume ainsi ses six mois sous pression avec Roberto De Zerbi. Le défenseur, transféré cet hiver à Rennes, avoue avoir "sous-estimé l'exigence tactique" du coach italien. "Il voulait que je anticipe les déplacements comme un joueur de champ", confie-t-il à So Foot.
L'épisode le plus marquant ? La pique cinglante d'octobre 2024 lors d'une séance avec un jeune du centre : "Il comprend mes consignes en trois jours, toi en trois mois !". Une humiliation qui aurait brisé un mental moins aguerri. "C'était un électrochoc nécessaire", assume aujourd'hui le Français, reconnaissant envers cette méthode brutale mais formatrice.
L'épisode le plus marquant ? La pique cinglante d'octobre 2024 lors d'une séance avec un jeune du centre : "Il comprend mes consignes en trois jours, toi en trois mois !". Une humiliation qui aurait brisé un mental moins aguerri. "C'était un électrochoc nécessaire", assume aujourd'hui le Français, reconnaissant envers cette méthode brutale mais formatrice.
Brassier a grandi avec De Zerbi
A Rennes, Brassier recycle l'héritage De Zerbi avec brio. 87% de passes réussies (contre 82% à l'OM) et 1,5 interception supplémentaire par match : les stats prouvent sa mue. "Ses conseils sur le placement ont fait tilt ici".
Le natif d'Argenteuil a même développé une nouvelle arme : "Maintenant, je provoque les attaquants plutôt que les subir", indique t'il. Une évolution qui prouve que malgré six mois très compliqués à Marseille, Lilian Brassier a grandi sous les ordres de Roberto De Zerbi.
Brassier en est convaincu : "Sans ces six mois d'enfer marseillais, je ne serais pas le joueur d'aujourd'hui." Preuve que les cicatrices forgent parfois les plus belles armures.
Le natif d'Argenteuil a même développé une nouvelle arme : "Maintenant, je provoque les attaquants plutôt que les subir", indique t'il. Une évolution qui prouve que malgré six mois très compliqués à Marseille, Lilian Brassier a grandi sous les ordres de Roberto De Zerbi.
Brassier en est convaincu : "Sans ces six mois d'enfer marseillais, je ne serais pas le joueur d'aujourd'hui." Preuve que les cicatrices forgent parfois les plus belles armures.