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Dans les colonnes du magazine So Foot, Florian Thauvin brise l'omerta sur son aventure mexicaine cauchemardesque. Le joueur du RC Lens ne mâche pas ses mots et règle ses comptes avec les Tigres de Monterrey, mais surtout avec André-Pierre Gignac, celui qu'il considérait comme un ami.
« J'aurais aimé qu'il fasse plus, bien évidemment, parce qu'il s'était engagé vis-à-vis de moi, mais aussi vis-à-vis du club, parce que c'est aussi le club qui lui a demandé de mener les discussions avec moi », lâche Thauvin avec une amertume palpable. L'ancien Marseillais attendait manifestement un soutien plus appuyé de la part de « Dédé » face aux dirigeants mexicains.
L'international français dénonce un traitement indigne. « J'aurais aimé qu'il dise aux dirigeants : vous lui devez au moins du temps, mais surtout du respect », poursuit-il. Car selon Florian Thauvin, son histoire avec les Tigres s'est terminée de façon totalement illégale.
« Les Tigres, ils m'ont viré. J'ai été licencié sans motif du jour au lendemain, alors que j'avais signé un contrat de 5 ans. Ce n'est pas légal », martèle le champion du monde. En janvier 2023, après seulement un an et demi au Mexique, le club a mis fin unilatéralement à son contrat pour libérer une place d'étranger et recruter l'Argentin Nico Ibañez.
Florian Thauvin ne compte pas en rester là. Selon ABC Noticias, l'ailier a déposé plainte auprès du Tribunal d'arbitrage sportif (TAS) pour réclamer 12 millions d'euros, soit l'intégralité des salaires restants sur les 27 mois de contrat non honorés. En juin 2023, la Chambre de résolution des litiges de la FIFA a d'ailleurs donné raison au joueur, admettant sa demande d'indemnisation pour rupture abusive de contrat.
Les Tigres se défendent en invoquant une clause du contrat limitant l'indemnité à trois mois de salaire en cas de résiliation unilatérale. Une clause que le TAS devra examiner.
Arrivé en rock star à Monterrey en 2021 avec un salaire annuel net de 3,2 millions d'euros, Florian Thauvin espérait revivre le rêve de Gignac. Il a finalement touché le fond. « Au Mexique, j'ai touché le fond. Qu'on remette en cause mon niveau jusqu'à me virer, c'était difficile à accepter », confie-t-il aujourd'hui, renaissant sous les couleurs lensoises.
« J'aurais aimé qu'il fasse plus, bien évidemment, parce qu'il s'était engagé vis-à-vis de moi, mais aussi vis-à-vis du club, parce que c'est aussi le club qui lui a demandé de mener les discussions avec moi », lâche Thauvin avec une amertume palpable. L'ancien Marseillais attendait manifestement un soutien plus appuyé de la part de « Dédé » face aux dirigeants mexicains.
L'international français dénonce un traitement indigne. « J'aurais aimé qu'il dise aux dirigeants : vous lui devez au moins du temps, mais surtout du respect », poursuit-il. Car selon Florian Thauvin, son histoire avec les Tigres s'est terminée de façon totalement illégale.
« Les Tigres, ils m'ont viré. J'ai été licencié sans motif du jour au lendemain, alors que j'avais signé un contrat de 5 ans. Ce n'est pas légal », martèle le champion du monde. En janvier 2023, après seulement un an et demi au Mexique, le club a mis fin unilatéralement à son contrat pour libérer une place d'étranger et recruter l'Argentin Nico Ibañez.
Florian Thauvin ne compte pas en rester là. Selon ABC Noticias, l'ailier a déposé plainte auprès du Tribunal d'arbitrage sportif (TAS) pour réclamer 12 millions d'euros, soit l'intégralité des salaires restants sur les 27 mois de contrat non honorés. En juin 2023, la Chambre de résolution des litiges de la FIFA a d'ailleurs donné raison au joueur, admettant sa demande d'indemnisation pour rupture abusive de contrat.
Les Tigres se défendent en invoquant une clause du contrat limitant l'indemnité à trois mois de salaire en cas de résiliation unilatérale. Une clause que le TAS devra examiner.
Arrivé en rock star à Monterrey en 2021 avec un salaire annuel net de 3,2 millions d'euros, Florian Thauvin espérait revivre le rêve de Gignac. Il a finalement touché le fond. « Au Mexique, j'ai touché le fond. Qu'on remette en cause mon niveau jusqu'à me virer, c'était difficile à accepter », confie-t-il aujourd'hui, renaissant sous les couleurs lensoises.
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