L'accueil
Emanuel Emegha n'a pas mâché ses mots dimanche soir à la Meinau. Auteur d'un doublé décisif contre Lille (2-0) pour son retour de blessure, l'attaquant néerlandais a réglé ses comptes avec les médias en zone mixte. Une sortie cash qui reflète la frustration accumulée pendant plus d'un mois d'absence.
Blessé aux ischios-jambiers depuis la fin septembre, le capitaine du Racing a dû ronger son frein pendant que les commentaires fusaient. Les spéculations sur son futur transfert à Chelsea en 2026, les critiques sur son engagement, les rumeurs incessantes... tout y est passé.
"C'était très long et j'ai vu beaucoup de conneries dites par des gens dans les médias", a lâché le Néerlandais, visiblement remonté. "Mais comme vous avez pu le voir, la prochaine fois ils pourront dire encore plus de conneries et je reviendrai encore plus fort."
Le message est passé. Sur le terrain d'abord. À la 33e minute, Emegha profite d'une erreur défensive lilloise pour ouvrir le score d'une reprise du genou droit. À la 62e, il double la mise après une passe en retrait complètement ratée d'Olivier Giroud. "C'est ma marque de fabrique", a-t-il confié aux médias après la rencontre.
L'absence a été longue. Trop longue pour un joueur de son calibre. Touché aux deux ischios-jambiers de la jambe droite contre Marseille le 26 septembre, Emegha devait initialement revenir face au PSG après la trêve d'octobre. Mais le Racing n'a pris aucun risque.
Sept matches manqués. Sept rencontres à observer depuis la tribune ou le banc. Sept occasions de voir et d'entendre. "Les gens ont raconté de la merde pendant mon absence", a-t-il déclaré sans filtre. Le timing n'a pas aidé. L'officialisation de son transfert à Chelsea pour l'été 2026 avait déjà provoqué un tollé chez certains supporters strasbourgeois en septembre. Des banderoles hostiles, des sifflets, des accusations de trahison, la montée en puissance de Joaquín Panichelli. Emegha a tout encaissé.
Dimanche soir, la Meinau était pleine. 31 051 spectateurs pour une ambiance électrique. Emegha a retrouvé son public, et son public a retrouvé son buteur. Désigné homme du match, le Néerlandais compte désormais 4 buts en 5 matches de Ligue 1 cette saison.
Blessé aux ischios-jambiers depuis la fin septembre, le capitaine du Racing a dû ronger son frein pendant que les commentaires fusaient. Les spéculations sur son futur transfert à Chelsea en 2026, les critiques sur son engagement, les rumeurs incessantes... tout y est passé.
"C'était très long et j'ai vu beaucoup de conneries dites par des gens dans les médias", a lâché le Néerlandais, visiblement remonté. "Mais comme vous avez pu le voir, la prochaine fois ils pourront dire encore plus de conneries et je reviendrai encore plus fort."
Le message est passé. Sur le terrain d'abord. À la 33e minute, Emegha profite d'une erreur défensive lilloise pour ouvrir le score d'une reprise du genou droit. À la 62e, il double la mise après une passe en retrait complètement ratée d'Olivier Giroud. "C'est ma marque de fabrique", a-t-il confié aux médias après la rencontre.
L'absence a été longue. Trop longue pour un joueur de son calibre. Touché aux deux ischios-jambiers de la jambe droite contre Marseille le 26 septembre, Emegha devait initialement revenir face au PSG après la trêve d'octobre. Mais le Racing n'a pris aucun risque.
Sept matches manqués. Sept rencontres à observer depuis la tribune ou le banc. Sept occasions de voir et d'entendre. "Les gens ont raconté de la merde pendant mon absence", a-t-il déclaré sans filtre. Le timing n'a pas aidé. L'officialisation de son transfert à Chelsea pour l'été 2026 avait déjà provoqué un tollé chez certains supporters strasbourgeois en septembre. Des banderoles hostiles, des sifflets, des accusations de trahison, la montée en puissance de Joaquín Panichelli. Emegha a tout encaissé.
Dimanche soir, la Meinau était pleine. 31 051 spectateurs pour une ambiance électrique. Emegha a retrouvé son public, et son public a retrouvé son buteur. Désigné homme du match, le Néerlandais compte désormais 4 buts en 5 matches de Ligue 1 cette saison.
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