La bombe a explosé cette semaine. Akor Adams a balancé du lourd sur son passage cauchemardesque au MHSC. L'attaquant nigérian, aujourd'hui épanoui à Séville, affirme avoir vécu "un enfer" dans l'Hérault, victime de harcèlement psychologique de la part de cadres du vestiaire.
Khazri recadre Akor Adams
Interrogé jeudi soir sur RMC dans l'émission "Rothen s'enflamme", Wahbi Khazri a réagi aux révélations d'El Desmarque. Sa réponse, d'un calme olympien, fait beaucoup parler : "Quelle est cette histoire d'harcèlement psychologique avec Akor Adams ?", lâche-t-il avec un détachement troublant.
Selon les révélations faites au média espagnol, "les joueurs les plus expérimentés du vestiaire du MHSC poussaient pour la titularisation d'un autre joueur au même poste", créant "une atmosphère inacceptable" pour Adams. L'attaquant nigérian aurait même "touché le fond mentalement" avant son départ salvateur en janvier. La stratégie était perverse. L'objectif ? Pousser Khazri à récupérer sa place dans le onze titulaire en faisant craquer Adams.
Pour le FC Séville, ce transfert représentait "une bouée de sauvetage pour la carrière d'Akor Adams". Victor Orta, alors directeur sportif andalou, avait saisi la détresse du joueur et accéléré les négociations.
De son côté, Khazri ne comprend pas ces révélations, et a tenu à mettre les points sur les "i" : "C’est hallucinant de dire ça et d’entendre harcèlement c’est un mot qui est grave. Je ne sais pas ce qu’il a subi mais bon le mec il a joué tous les matchs il a été remplaçant peut-être trois fois j’aurais bien aimé subir un harcèlement et jouer tous les matchs. Quand le mec marquait tout le monde lui courrait dessus... je lui souhaite tout le meilleur, je n’ai rien contre ce mec-là. C’est trop facile quand tout se passe mal de dire ça. Le mec a bien commencé, tout le monde était content, il a eu une période très compliquée, et c’est dans ces périodes qu’on voit les grands joueurs". A t'il indiqué dans Rothen s'enflamme.
Selon les révélations faites au média espagnol, "les joueurs les plus expérimentés du vestiaire du MHSC poussaient pour la titularisation d'un autre joueur au même poste", créant "une atmosphère inacceptable" pour Adams. L'attaquant nigérian aurait même "touché le fond mentalement" avant son départ salvateur en janvier. La stratégie était perverse. L'objectif ? Pousser Khazri à récupérer sa place dans le onze titulaire en faisant craquer Adams.
Pour le FC Séville, ce transfert représentait "une bouée de sauvetage pour la carrière d'Akor Adams". Victor Orta, alors directeur sportif andalou, avait saisi la détresse du joueur et accéléré les négociations.
De son côté, Khazri ne comprend pas ces révélations, et a tenu à mettre les points sur les "i" : "C’est hallucinant de dire ça et d’entendre harcèlement c’est un mot qui est grave. Je ne sais pas ce qu’il a subi mais bon le mec il a joué tous les matchs il a été remplaçant peut-être trois fois j’aurais bien aimé subir un harcèlement et jouer tous les matchs. Quand le mec marquait tout le monde lui courrait dessus... je lui souhaite tout le meilleur, je n’ai rien contre ce mec-là. C’est trop facile quand tout se passe mal de dire ça. Le mec a bien commencé, tout le monde était content, il a eu une période très compliquée, et c’est dans ces périodes qu’on voit les grands joueurs". A t'il indiqué dans Rothen s'enflamme.