Recruté cet été par le Stade Rennais pour 13 millions d'euros, Quentin Merlin incarne aujourd'hui la douleur d'un déclassement brutal. L'arrière latéral gauche, arrivé en Bretagne en provenance de l'OM avec le statut de successeur d'Adrien Truffert, a basculé de titulaire à simple doublure en l'espace de trois mois. L'explication ? L'explosion sidérante de Mousa Al-Tamari au poste de piston gauche, un joueur transformé en poison défensif par Habib Beye. Les chiffres sont implacables : avec le Jordanien, Rennes glane 2 points par match ; avec Merlin, seulement 1,2 point.
Quentin Merlin ne cache plus son agacement
L'agacement de Quentin Merlin ne se cache plus. Comme le rapporte Sébastien Denis, rédacteur en chef de Foot Mercato, l'ancien Nantais "n'exclut plus un départ dès cet hiver". Ses proches tentent de calmer le jeu, prônant la patience face à une situation qui pèse lourd sur le moral du joueur de 23 ans. Pourtant, le message est clair : un départ hivernal n'est plus tabou. Son contrat jusqu'en 2029 ne suffit pas à masquer une réalité sportive implacable.
Le constat est sans appel. Face à Brest, Al-Tamari a démontré sa supériorité en provoquant deux erreurs de Kenny Lala en deux minutes, offrant une passe décisive et inscrivant un but. Ce joueur, habituellement ailier droit, s'est métamorphosé en arme absolue à gauche. Habib Beye justifie ce choix par une logique implacable : "À gauche, il n'a plus besoin de ralentir pour retrouver son pied droit, et il peut ainsi exploiter pleinement sa meilleure qualité". Merlin, lui, ronge son frein sur le banc ou évolue à droite, loin de sa zone de confort.
Si un départ en début de mercato est à exclure, Quentin Merlin pourrait bien monter au créneau pour exiger un départ d'ici fin janvier. Et ça, le Stade Rennais en est bien conscient, puisque le club breton est en quête d'un arrière latéral droit, sachant que Przemyslaw Frankowski peut évoluer à gauche.
Le constat est sans appel. Face à Brest, Al-Tamari a démontré sa supériorité en provoquant deux erreurs de Kenny Lala en deux minutes, offrant une passe décisive et inscrivant un but. Ce joueur, habituellement ailier droit, s'est métamorphosé en arme absolue à gauche. Habib Beye justifie ce choix par une logique implacable : "À gauche, il n'a plus besoin de ralentir pour retrouver son pied droit, et il peut ainsi exploiter pleinement sa meilleure qualité". Merlin, lui, ronge son frein sur le banc ou évolue à droite, loin de sa zone de confort.
Si un départ en début de mercato est à exclure, Quentin Merlin pourrait bien monter au créneau pour exiger un départ d'ici fin janvier. Et ça, le Stade Rennais en est bien conscient, puisque le club breton est en quête d'un arrière latéral droit, sachant que Przemyslaw Frankowski peut évoluer à gauche.