Rennes est revenu de Saint-Sébastien avec le nul en amical, mais surtout avec un blessé qui pourrait être out un bon moment. Lilian Brassier, pilier de la défense bretonne, a quitté prématurément la pelouse, blessé à la cheville suite à un choc.
À l’issue de la rencontre, l’entraîneur Habib Beye n’a pas caché sa préoccupation, évoquant un « premier diagnostic peu rassurant » pour son défenseur. De quoi craindre une absence prolongée alors que la saison du Stade rennais n'a pas encore commencée.
« Je pensais que c’était un coup mais ça a craqué. Ça n’a pas gonflé, mais il a très mal et il l’a vraiment sentie craquer (sa cheville), donc ce ne sont pas forcément des bonnes nouvelles. Mais on va attendre les examens pour savoir la gravité de sa blessure. » a déclaré Habib Beye.
Une déchirure ligamentaire ? Si déchirure partielle, la convalescence moyenne s'étend généralement de 3 à 6 semaines. Les sportifs professionnels, bénéficiant d’une prise en charge intensive, peuvent parfois revenir un peu plus tôt, mais il faut compter en pratique 4 à 8 semaines avant de retrouver l'ensemble des capacités nécessaires à la compétition, en tenant compte de la rééducation et du risque de récidive.
Si rupture totale du ligament, l’indisponibilité s’allonge nettement, évoluant entre 4 et 6 mois, notamment si la chirurgie est nécessaire ou que la lésion touche plusieurs ligaments. La reprise des sports avec contact, comme le football, n’est alors envisageable qu’après une guérison complète, incluant la récupération fonctionnelle, la force et la stabilité de l’articulation.
Espérons juste pour le Lilian Bassier et le Stade Rennais qu'il ne s'agisse que d'une simple entorse. Dans le cas contraire, une recrue défensive pourrait être envisagée, sachant que Habib Beye n'est pas convaincu par Mikayil Faye et que Warmed Omari est sur le départ.
À l’issue de la rencontre, l’entraîneur Habib Beye n’a pas caché sa préoccupation, évoquant un « premier diagnostic peu rassurant » pour son défenseur. De quoi craindre une absence prolongée alors que la saison du Stade rennais n'a pas encore commencée.
« Je pensais que c’était un coup mais ça a craqué. Ça n’a pas gonflé, mais il a très mal et il l’a vraiment sentie craquer (sa cheville), donc ce ne sont pas forcément des bonnes nouvelles. Mais on va attendre les examens pour savoir la gravité de sa blessure. » a déclaré Habib Beye.
Une déchirure ligamentaire ? Si déchirure partielle, la convalescence moyenne s'étend généralement de 3 à 6 semaines. Les sportifs professionnels, bénéficiant d’une prise en charge intensive, peuvent parfois revenir un peu plus tôt, mais il faut compter en pratique 4 à 8 semaines avant de retrouver l'ensemble des capacités nécessaires à la compétition, en tenant compte de la rééducation et du risque de récidive.
Si rupture totale du ligament, l’indisponibilité s’allonge nettement, évoluant entre 4 et 6 mois, notamment si la chirurgie est nécessaire ou que la lésion touche plusieurs ligaments. La reprise des sports avec contact, comme le football, n’est alors envisageable qu’après une guérison complète, incluant la récupération fonctionnelle, la force et la stabilité de l’articulation.
Espérons juste pour le Lilian Bassier et le Stade Rennais qu'il ne s'agisse que d'une simple entorse. Dans le cas contraire, une recrue défensive pourrait être envisagée, sachant que Habib Beye n'est pas convaincu par Mikayil Faye et que Warmed Omari est sur le départ.