L'accueil
Eric Roy craint une saison 2025-2026 compliquée
Dans un contexte économique délicat, Éric Roy a livré un discours loin d'être rassurant au sujet du Stade Brestois. En conférence de presse, l’entraîneur breton a confié avec franchise : « Heureusement qu’il y a eu cette aventure en Ligue des champions, parce que je pense que s’il n’y avait pas eu, on aurait mis la clé sous la porte ». Cette qualification européenne a permis au club de toucher des primes conséquentes.
Le Stade Brestois a touché environ 51,83 millions d’euros grâce à sa participation à la Ligue des champions lors de la saison 2024-2025. Ce montant cumule les revenus sportifs (primes de participation, résultats, classement et qualification en barrages) ainsi que les droits TV et marketing redistribués par l’UEFA en fin de saison.
Dans le détail, Brest a perçu :
18,62 millions d’euros pour sa participation à la phase de ligue,
9,1 millions d’euros pour ses résultats (4 victoires et 1 nul),
5,6 millions d’euros pour son classement final (18e place),
1 million d’euros de bonus pour sa qualification en barrages,
et environ 17 millions d’euros issus des droits TV et du « market pool ».
Sans cet apport, Brest aurait probablement été contraint de revoir drastiquement ses ambitions, condamné à lutter uniquement pour son maintien. Pourtant, malgré cette bouffée d’oxygène, l’avenir reste incertain : les investissements seront limités la saison prochaine, et Eric Roy lui-même reste évasif sur son futur au club.
Alors qu'il a botté en touche au sujet de sa prolongation de contrat, Eric Roy refuse de rester pour jouer le maintien la saison prochaine. Après avoir gouté à la Ligue des Champions cette saison, il souhaite obtenir des garanties pour au moins jouer le top 8 la saison prochaine.
Le Stade Brestois a touché environ 51,83 millions d’euros grâce à sa participation à la Ligue des champions lors de la saison 2024-2025. Ce montant cumule les revenus sportifs (primes de participation, résultats, classement et qualification en barrages) ainsi que les droits TV et marketing redistribués par l’UEFA en fin de saison.
Dans le détail, Brest a perçu :
18,62 millions d’euros pour sa participation à la phase de ligue,
9,1 millions d’euros pour ses résultats (4 victoires et 1 nul),
5,6 millions d’euros pour son classement final (18e place),
1 million d’euros de bonus pour sa qualification en barrages,
et environ 17 millions d’euros issus des droits TV et du « market pool ».
Sans cet apport, Brest aurait probablement été contraint de revoir drastiquement ses ambitions, condamné à lutter uniquement pour son maintien. Pourtant, malgré cette bouffée d’oxygène, l’avenir reste incertain : les investissements seront limités la saison prochaine, et Eric Roy lui-même reste évasif sur son futur au club.
Alors qu'il a botté en touche au sujet de sa prolongation de contrat, Eric Roy refuse de rester pour jouer le maintien la saison prochaine. Après avoir gouté à la Ligue des Champions cette saison, il souhaite obtenir des garanties pour au moins jouer le top 8 la saison prochaine.
