Le SM Caen traverse une tempête force 10 sur l'échelle de Beaufort. Éliminé de manière "honteuse" en Coupe de France par Bayeux, club de R1 (3-2), Maxime d'Ornano voit son avenir se dessiner en pointillés. Pourtant, selon Foot Normand, la direction lui renouvelle sa confiance. Du moins, pour l'instant.
"C'est un non-sujet. Maxime sera sur le banc contre Bourg vendredi", affirme la direction caennaise. Cette annonce tranche avec les rumeurs de couloirs qui circulaient après l'humiliation du week-end. Le technicien lui-même a balayé les interrogations d'un revers de main : "Je ne pense pas à ça, juste à gagner des matchs". Un vœu pieux quand on sait que Caen ne compte que trois victoires en 13 sorties en championnat cette saison.
La défaite face à Bayeux, que D'Ornano qualifie lui-même d'"honteuse", révèle des manquements criants. "On n'a pas gagné un duel, pas pris un deuxième ballon, on s'est fait laver", fustige-t-il. Pour le coach, ses joueurs ont "triché avec le foot", ce qui explique cette élimination face à un adversaire de quatre divisions inférieures.
Comme l'indique Foot Normand, le vestiaire soutient encore l'entraîneur. Mais ce soutien suffira-t-il ? La direction hésite à trancher, car un licenciement exposerait directement les dirigeants, en particulier Reda Hammache, responsable du recrutement qui a fortement plaidé pour la venue de D'Ornano cet été.
La direction sportive mise sur le mercato hivernal pour relancer la machine. Deux attaquants sont ciblés, Reda Hammache supervisant déjà des profils. Car avec seulement une victoire sur les neuf dernières journées (six nuls, deux revers), le club normand, actuellement 10e du National, doit se méfier.
En cas de succès vendredi contre Bourg-en-Bresse, 16e au classement, Caen pourrait raccrocher le bon wagon, ou du moins ne pas être décroché. Tout autre résultat pourrait par contre être fatale à D'Ornano.
"C'est un non-sujet. Maxime sera sur le banc contre Bourg vendredi", affirme la direction caennaise. Cette annonce tranche avec les rumeurs de couloirs qui circulaient après l'humiliation du week-end. Le technicien lui-même a balayé les interrogations d'un revers de main : "Je ne pense pas à ça, juste à gagner des matchs". Un vœu pieux quand on sait que Caen ne compte que trois victoires en 13 sorties en championnat cette saison.
La défaite face à Bayeux, que D'Ornano qualifie lui-même d'"honteuse", révèle des manquements criants. "On n'a pas gagné un duel, pas pris un deuxième ballon, on s'est fait laver", fustige-t-il. Pour le coach, ses joueurs ont "triché avec le foot", ce qui explique cette élimination face à un adversaire de quatre divisions inférieures.
Comme l'indique Foot Normand, le vestiaire soutient encore l'entraîneur. Mais ce soutien suffira-t-il ? La direction hésite à trancher, car un licenciement exposerait directement les dirigeants, en particulier Reda Hammache, responsable du recrutement qui a fortement plaidé pour la venue de D'Ornano cet été.
La direction sportive mise sur le mercato hivernal pour relancer la machine. Deux attaquants sont ciblés, Reda Hammache supervisant déjà des profils. Car avec seulement une victoire sur les neuf dernières journées (six nuls, deux revers), le club normand, actuellement 10e du National, doit se méfier.
En cas de succès vendredi contre Bourg-en-Bresse, 16e au classement, Caen pourrait raccrocher le bon wagon, ou du moins ne pas être décroché. Tout autre résultat pourrait par contre être fatale à D'Ornano.