Anthony Rouault sait qu'il a eu de la chance. Auteur d'une semelle appuyée sur Khalis Merah en début de match dimanche soir lors de la victoire de Rennes contre Lyon (3-1), le défenseur du Stade Rennais a échappé à l'expulsion malgré un geste qui semblait mériter le carton rouge.
L'action, survenue à la 18e minute alors que l'OL menait déjà 1-0, a fait polémique. L'arbitre Ruddy Buquet n'a pas sifflé la faute sur le terrain, tandis que Stéphanie Frappart, responsable du VAR, n'a pas jugé utile d'intervenir pour signaler cette intervention dangereuse.
« Je n'ai pas revu l'image. Je sais que je le touche un peu, mais je ne sais pas où exactement », a reconnu Rouault en zone mixte après la rencontre « Si la VAR et l'arbitre n'ont rien dit, c'est que ça va. Ou alors, ils se sont trompés, mais ce n'est pas moi qui décide ».
Cette clémence arbitrale s'est avérée déterminante pour la suite du match. Non seulement Rouault est resté sur le terrain, mais il a également inscrit le but égalisateur à la 80e minute, permettant à Rennes de revenir dans la partie avant de s'imposer en fin de match.
L'ironie de la situation n'a pas échappé aux dirigeants lyonnais. « Celui qui aurait dû être expulsé a égalisé », a pesté Matthieu Louis-Jean, directeur technique de l'OL. Le dirigeant n'a pas hésité à pointer du doigt l'incohérence de l'arbitrage : « On ne comprend pas la cohérence de l'arbitrage. Que faisait le VAR ? Comment peut-elle ne pas appeler M. Buquet ? ».
L'Olympique Lyonnais n'a pas digéré cette décision qu'il juge scandaleuse. Le club rhodanien a même publié un message sarcastique sur les réseaux sociaux, évoquant une « surtension qui a apparemment coupé les écrans du VAR » accompagné de la vidéo de l'action litigieuse.
L'action, survenue à la 18e minute alors que l'OL menait déjà 1-0, a fait polémique. L'arbitre Ruddy Buquet n'a pas sifflé la faute sur le terrain, tandis que Stéphanie Frappart, responsable du VAR, n'a pas jugé utile d'intervenir pour signaler cette intervention dangereuse.
« Je n'ai pas revu l'image. Je sais que je le touche un peu, mais je ne sais pas où exactement », a reconnu Rouault en zone mixte après la rencontre « Si la VAR et l'arbitre n'ont rien dit, c'est que ça va. Ou alors, ils se sont trompés, mais ce n'est pas moi qui décide ».
Cette clémence arbitrale s'est avérée déterminante pour la suite du match. Non seulement Rouault est resté sur le terrain, mais il a également inscrit le but égalisateur à la 80e minute, permettant à Rennes de revenir dans la partie avant de s'imposer en fin de match.
L'ironie de la situation n'a pas échappé aux dirigeants lyonnais. « Celui qui aurait dû être expulsé a égalisé », a pesté Matthieu Louis-Jean, directeur technique de l'OL. Le dirigeant n'a pas hésité à pointer du doigt l'incohérence de l'arbitrage : « On ne comprend pas la cohérence de l'arbitrage. Que faisait le VAR ? Comment peut-elle ne pas appeler M. Buquet ? ».
L'Olympique Lyonnais n'a pas digéré cette décision qu'il juge scandaleuse. Le club rhodanien a même publié un message sarcastique sur les réseaux sociaux, évoquant une « surtension qui a apparemment coupé les écrans du VAR » accompagné de la vidéo de l'action litigieuse.