L'accueil
Félix Lemaréchal n'était pas dans le groupe strasbourgeois mercredi soir. Le Racing s'est imposé 3-0 contre Auxerre sans son milieu offensif de 22 ans. Une première cette saison pour le joueur recruté en août 2024 pour 6 millions d'euros.
La sentence est tombée des lèvres de Liam Rosenior après la rencontre. « C'était ma décision. Il est malade, mais j'avais déjà pris la décision qu'il ne serait pas dans le groupe pour ce match ».
L'entraîneur anglais du RC Strasbourg confirme donc un choix technique. Pas seulement une question de santé. Lemaréchal traversait déjà une zone de turbulence ces dernières semaines.
Son entrée en jeu catastrophique à Lyon dimanche dernier a pesé dans la balance. Le Tourangeau s'est fait éliminer par Afonso Moreira sur le but du 2-1 inscrit dans les arrêts de jeu. Une faute défensive qui n'a pas plu au staff strasbourgeois.
Depuis son arrivée en Alsace, Lemaréchal affiche un bilan contrasté. Treize apparitions toutes compétitions confondues cette saison, dont neuf titularisations. Quatre passes décisives à son actif : deux contre Brondby en barrages de Conference League et deux face à Angers lors du festival offensif du Racing (5-0).
Mais son rendement général déçoit. D'après DNA, « le rendement de l'ex-Monégasque laisse à désirer en dépit de quatre passes décisives ». Son positionnement défensif pose problème dans un système où Rosenior exige intensité et discipline tactique.
Le technicien britannique défend un football de pressing agressif. Strasbourg est la deuxième équipe de Ligue 1 à presser le plus dans le dernier tiers. Dans ce dispositif exigeant, chaque joueur doit tenir son rang. « Je compte sur tout le monde dans une saison où les matches s'enchaînent », rappelait Rosenior mercredi. Un message clair adressé à Lemaréchal.
Cette mise à l'écart pourrait servir d'électrochoc. Le prochain déplacement à Rennes dimanche à 15 heures dira si le milieu français a retrouvé sa place dans les plans de son entraîneur.
La sentence est tombée des lèvres de Liam Rosenior après la rencontre. « C'était ma décision. Il est malade, mais j'avais déjà pris la décision qu'il ne serait pas dans le groupe pour ce match ».
L'entraîneur anglais du RC Strasbourg confirme donc un choix technique. Pas seulement une question de santé. Lemaréchal traversait déjà une zone de turbulence ces dernières semaines.
Son entrée en jeu catastrophique à Lyon dimanche dernier a pesé dans la balance. Le Tourangeau s'est fait éliminer par Afonso Moreira sur le but du 2-1 inscrit dans les arrêts de jeu. Une faute défensive qui n'a pas plu au staff strasbourgeois.
Depuis son arrivée en Alsace, Lemaréchal affiche un bilan contrasté. Treize apparitions toutes compétitions confondues cette saison, dont neuf titularisations. Quatre passes décisives à son actif : deux contre Brondby en barrages de Conference League et deux face à Angers lors du festival offensif du Racing (5-0).
Mais son rendement général déçoit. D'après DNA, « le rendement de l'ex-Monégasque laisse à désirer en dépit de quatre passes décisives ». Son positionnement défensif pose problème dans un système où Rosenior exige intensité et discipline tactique.
Le technicien britannique défend un football de pressing agressif. Strasbourg est la deuxième équipe de Ligue 1 à presser le plus dans le dernier tiers. Dans ce dispositif exigeant, chaque joueur doit tenir son rang. « Je compte sur tout le monde dans une saison où les matches s'enchaînent », rappelait Rosenior mercredi. Un message clair adressé à Lemaréchal.
Cette mise à l'écart pourrait servir d'électrochoc. Le prochain déplacement à Rennes dimanche à 15 heures dira si le milieu français a retrouvé sa place dans les plans de son entraîneur.
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