Joaquín Panichelli continue d'affoler les compteurs. Dimanche soir face à Lyon, l'attaquant argentin du RC Strasbourg a encore frappé en ouvrant le score d'une belle tête (1-0, 25e). Avec ce huitième but en neuf journées de Ligue 1, le buteur de 23 ans vient d'entrer dans l'histoire du club alsacien.
Selon le compte X Stats Foot, Panichelli est devenu le premier joueur du RCSA à comptabiliser huit buts après seulement neuf journées de championnat depuis Ernst Stojaspal en 1954-1955, qui en avait marqué neuf. Une performance qui n'avait donc plus été égalée depuis 70 ans à Strasbourg.
Un exploit d'autant plus remarquable que l'Autrichien Stojaspal avait marqué les esprits en Alsace. Arrivé après la Coupe du monde 1954, il avait inscrit 52 buts en Ligue 1 avec le Racing entre 1954 et 1957. Aujourd'hui, Panichelli marche sur ses traces et pourrait même faire mieux.
Selon le compte X Stats Foot, Panichelli est devenu le premier joueur du RCSA à comptabiliser huit buts après seulement neuf journées de championnat depuis Ernst Stojaspal en 1954-1955, qui en avait marqué neuf. Une performance qui n'avait donc plus été égalée depuis 70 ans à Strasbourg.
Un exploit d'autant plus remarquable que l'Autrichien Stojaspal avait marqué les esprits en Alsace. Arrivé après la Coupe du monde 1954, il avait inscrit 52 buts en Ligue 1 avec le Racing entre 1954 et 1957. Aujourd'hui, Panichelli marche sur ses traces et pourrait même faire mieux.
Une montée en puissance irrésistible de Panichelli
Recruté pour 16,5 millions d'euros cet été en provenance d'Alavés après avoir explosé à Mirandès (21 buts en 44 matchs en deuxième division espagnole), l'Argentin ne cesse d'impressionner. Huit buts en neuf matchs de Ligue 1, soit une moyenne stratosphérique qui le place seul en tête du classement des buteurs du championnat, devant Mason Greenwood (6 buts).
Dimanche, malgré la défaite contre Lyon (2-1), Panichelli a encore été le meilleur joueur strasbourgeois sur la pelouse. Son entraîneur Liam Rosenior ne tarit pas d'éloges : « Je n'ai jamais vu un 9 faire un tel match, notamment comme point de fixation », déclarait-il après le match nul contre le PSG (3-3).
En Ligue Europa Conférence également, il a marqué les esprits avec un ciseau acrobatique « complètement dingue » face à Jagiellonia Bialystok (1-1), permettant aux siens d'éviter la défaite. Neuf buts en douze matchs toutes compétitions confondues, Panichelli affiche un rendement digne des plus grands.
A ce rythme, l'attaquant de 1m90 pourrait battre un record du club vieux de 1937. Avec sept buts après huit journées, il avait déjà atteint la moitié du total de buts d'Emanuel Emegha sur toute la saison dernière (14 buts). Désormais à huit réalisations, l'ancien artificier d'Alavés se rapproche dangereusement des standards historiques du Racing.
Dimanche, malgré la défaite contre Lyon (2-1), Panichelli a encore été le meilleur joueur strasbourgeois sur la pelouse. Son entraîneur Liam Rosenior ne tarit pas d'éloges : « Je n'ai jamais vu un 9 faire un tel match, notamment comme point de fixation », déclarait-il après le match nul contre le PSG (3-3).
En Ligue Europa Conférence également, il a marqué les esprits avec un ciseau acrobatique « complètement dingue » face à Jagiellonia Bialystok (1-1), permettant aux siens d'éviter la défaite. Neuf buts en douze matchs toutes compétitions confondues, Panichelli affiche un rendement digne des plus grands.
A ce rythme, l'attaquant de 1m90 pourrait battre un record du club vieux de 1937. Avec sept buts après huit journées, il avait déjà atteint la moitié du total de buts d'Emanuel Emegha sur toute la saison dernière (14 buts). Désormais à huit réalisations, l'ancien artificier d'Alavés se rapproche dangereusement des standards historiques du Racing.