La sélection de Florian Thauvin en équipe de France, continue de faire beaucoup parler. Une décision qui fait grincer des dents chez les observateurs du football français. Le retour du l'attaquant du RC Lens en Bleu après six ans d'absence ne fait pas l'unanimité.
Des critiques cinglantes qui fusent
Les chroniqueurs de l'After Foot ne mâchent pas leurs mots. "C'est une sélection pour lui faire plaisir. Une fois que tous les blessés reviendront, on n'en entendra plus parler", assène Maxime Chanot.
Son collègue Walid Acherchour enfonce le clou avec une pointe d'ironie mordante. "Le voir prendre la parole à la mi-temps après plus de 6 ans d'absence... je ne sais même pas si Olise le connaît".
Ces sorties révèlent le malaise autour de la convocation express du joueur de 32 ans. Rappelé in extremis pour remplacer Bradley Barcola, Thauvin a certes marqué dès son entrée contre l'Azerbaïdjan. Mais sa présence interroge.
Malgré ses interrogations, Florian Thauvin devrait disposer d'un temps de jeu conséquent face à l'Islande, selon les dires de Didier Deschamps : "Thauvin est censé être concerné demain. Plus que contre l'Azerbaïdjan ? Oui, probablement" confie le sélectionneur. Cette situation révèle surtout les carences offensives des Bleus selon Chanot et Acherchour. Privés de Mbappé, Barcolé, Doué ou encore Dembélé, Deschamps navigue à vue.
Son collègue Walid Acherchour enfonce le clou avec une pointe d'ironie mordante. "Le voir prendre la parole à la mi-temps après plus de 6 ans d'absence... je ne sais même pas si Olise le connaît".
Ces sorties révèlent le malaise autour de la convocation express du joueur de 32 ans. Rappelé in extremis pour remplacer Bradley Barcola, Thauvin a certes marqué dès son entrée contre l'Azerbaïdjan. Mais sa présence interroge.
Malgré ses interrogations, Florian Thauvin devrait disposer d'un temps de jeu conséquent face à l'Islande, selon les dires de Didier Deschamps : "Thauvin est censé être concerné demain. Plus que contre l'Azerbaïdjan ? Oui, probablement" confie le sélectionneur. Cette situation révèle surtout les carences offensives des Bleus selon Chanot et Acherchour. Privés de Mbappé, Barcolé, Doué ou encore Dembélé, Deschamps navigue à vue.