Le RC Lens affronte le RC Strasbourg ce samedi à Bollaert (17h) avec la ferme volonté de confirmer sa très bonne première partie de saison. Pour cette rencontre, Pierre Sage devra composer dans un de ses tauliers. Privé de Jonathan Gradit, suspendu après révocation de sursis suite à son expulsion à Rennes fin septembre, le coach lensois a désigné son remplaçant : Ismaëlo Ganiou.
"Il tient la corde", a confirmé l'entraîneur lensois en conférence de presse. Une déclaration qui ressemble à une seconde chance pour le défenseur de 20 ans, dont la dernière apparition en Ligue 1 remonte au 4 octobre dernier à Auxerre. Un match catastrophe soldé par une expulsion à la 73e minute, après deux cartons jaunes évitables.
Depuis cet épisode, Ganiou n'a plus refait surface dans le onze lensois. Trop tendre, pas encore prêt ? "Depuis Auxerre, je ne vois pas trop d'évolution dans les séances d'entraînement, il avait déjà un bon comportement en amont", avoue Pierre Sage. Le coach tempère cependant : "Le révélateur pour lui sera la compétition. C'est lors de la prochaine fois qu'il sera sur le terrain que l'on verra si des choses se sont construites sur le plan émotionnel."
Pour le préparer, Sage l'a envoyé jouer avec la réserve contre Feyenoord début novembre. Histoire de reprendre du rythme et, surtout, de retrouver de la confiance.
L'absence de Deiver Machado, touché par une gêne musculaire, réduit les options tactiques. Sage pourrait certes décaler Malang Sarr dans l'axe droit et replacer Matthieu Udol à gauche, mais sortir Samson Baidoo de son rôle semble risqué. La solution Ganiou devient donc la plus logique.
À Bollaert, contre une équipe strasbourgeoise qui pointe à trois points des Lensois au classement, la marge d'erreur sera réduite. Pour Ganiou, c'est une chance en or de prouver qu'il a digéré la leçon d'Auxerre.
"Il tient la corde", a confirmé l'entraîneur lensois en conférence de presse. Une déclaration qui ressemble à une seconde chance pour le défenseur de 20 ans, dont la dernière apparition en Ligue 1 remonte au 4 octobre dernier à Auxerre. Un match catastrophe soldé par une expulsion à la 73e minute, après deux cartons jaunes évitables.
Depuis cet épisode, Ganiou n'a plus refait surface dans le onze lensois. Trop tendre, pas encore prêt ? "Depuis Auxerre, je ne vois pas trop d'évolution dans les séances d'entraînement, il avait déjà un bon comportement en amont", avoue Pierre Sage. Le coach tempère cependant : "Le révélateur pour lui sera la compétition. C'est lors de la prochaine fois qu'il sera sur le terrain que l'on verra si des choses se sont construites sur le plan émotionnel."
Pour le préparer, Sage l'a envoyé jouer avec la réserve contre Feyenoord début novembre. Histoire de reprendre du rythme et, surtout, de retrouver de la confiance.
L'absence de Deiver Machado, touché par une gêne musculaire, réduit les options tactiques. Sage pourrait certes décaler Malang Sarr dans l'axe droit et replacer Matthieu Udol à gauche, mais sortir Samson Baidoo de son rôle semble risqué. La solution Ganiou devient donc la plus logique.
À Bollaert, contre une équipe strasbourgeoise qui pointe à trois points des Lensois au classement, la marge d'erreur sera réduite. Pour Ganiou, c'est une chance en or de prouver qu'il a digéré la leçon d'Auxerre.