Le sélectionneur de la Géorgie n'a pas sa langue dans sa poche concernant sa star Khvicha Kvaratskhelia. Dans le documentaire "Il était une fois Kvara" diffusé sur Ligue 1+, Willy Sagnol livre une analyse sans filtre de l'ailier parisien, établissant une comparaison surprenante avec un emblématique joueur du football français.
Sagnol voit du Ribéry en Kvaratskhelia
"Quand il est sur un terrain, il est là pour performer, pas pour les photos Instagram", déclare d'emblée l'ancien international français. Une pique directe aux footballeurs modernes trop préoccupés par leur image sur les réseaux sociaux.
Sagnol poursuit en révélant son impression première : "J'ai l'impression de voir un joueur d'un autre temps. J'ai tout de suite trouvé que c'était le clone de Franck Ribéry". Une comparaison qui ne doit rien au hasard pour celui qui a côtoyé l'ancien Bavarois en équipe de France.
Sagnol poursuit en révélant son impression première : "J'ai l'impression de voir un joueur d'un autre temps. J'ai tout de suite trouvé que c'était le clone de Franck Ribéry". Une comparaison qui ne doit rien au hasard pour celui qui a côtoyé l'ancien Bavarois en équipe de France.
Le technicien de 47 ans explique ce rapprochement par des similitudes physiques et techniques frappantes : "Il était taillé un petit peu pareil avec des épaules assez larges, beaucoup d'explosivité puis surtout un jeu un petit peu atypique, prise de risque quasiment à chaque prise de balle".
Cette analyse intervient alors que Kvaratskhelia confirme son statut au PSG après une grosse saison dernière, dont une performance remarquée il y a peu contre l'Atalanta Bergame (4-0) en Ligue des Champions où il a été élu homme du match.
Cette analyse intervient alors que Kvaratskhelia confirme son statut au PSG après une grosse saison dernière, dont une performance remarquée il y a peu contre l'Atalanta Bergame (4-0) en Ligue des Champions où il a été élu homme du match.
Kvaratskhelia avait été proposé à plusieurs clubs de Ligue 1
Toujours dans cet entretien, Sagnol n'a pu s'empêcher de rappeler ses tentatives infructueuses pour attirer l'attention des clubs français sur son protégé. "Quand je m'étais permis il y a trois ans de parler de Kvaratskhelia aux clubs français, à part un club, tout le monde ne m'avait pas pris au sérieux", confie-t-il avec une pointe d'amertume.
Seul Nice, via son ancien directeur Julien Fournier, avait montré un intérêt concret, mais Naples s'était montré plus rapide avec une offre de 10 millions d'euros. Le PSG a finalement, sous l'impulsion de Luis Campos, déboursé 70 millions d'euros pour s'attacher les services de celui qui a contribué au sacre parisien en Ligue des Champions la saison passée.
La comparaison avec Ribéry prend tout son sens quand on observe l'approche professionnelle de Kvaratskhelia, privilégiant la performance sur le terrain à la notoriété virtuelle, dans un football moderne parfois obsédé par l'image.
Seul Nice, via son ancien directeur Julien Fournier, avait montré un intérêt concret, mais Naples s'était montré plus rapide avec une offre de 10 millions d'euros. Le PSG a finalement, sous l'impulsion de Luis Campos, déboursé 70 millions d'euros pour s'attacher les services de celui qui a contribué au sacre parisien en Ligue des Champions la saison passée.
La comparaison avec Ribéry prend tout son sens quand on observe l'approche professionnelle de Kvaratskhelia, privilégiant la performance sur le terrain à la notoriété virtuelle, dans un football moderne parfois obsédé par l'image.