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Le défenseur du Paris Saint-Germain, Lucas Hernandez, a tiré la sonnette d'alarme concernant l'état physique du groupe parisien. Dans des déclarations relayées par Canal+, l'international français n'a pas mâché ses mots : « Quand tu finis une longue saison comme celle de l'année dernière, que tu as seulement deux semaines et demi de coupure, et après tu enchaînes directement une finale de SuperCoupe d'Europe, ce n'est jamais facile. À un moment ou un autre ça va lâcher, que ce soit physiquement ou mentalement ».
Ces propos interviennent dans un contexte particulier pour le PSG, qui sort d'une saison historique marquée par la conquête de la Ligue des champions et qui a dû enchaîner avec la Coupe du monde des clubs jusqu'en juillet. Un calendrier qui a considérablement réduit la période de récupération des hommes de Luis Enrique.
L'ancien défenseur du Bayern Munich pointe du doigt les conséquences d'un calendrier surchargé sur la condition physique de l'équipe. « Ça a été un été très court, on n'a pas eu beaucoup de préparation, mais on essaye de récupérer nos jambes », avait-il déjà confié après la victoire contre Nantes en août.
Une inquiétude partagée par l'ensemble des joueurs du PSG durant l'été. Vitinha avait notamment admis : « Oui, il y a de la fatigue, je pense que ça se voit », tandis que Gianluigi Donnarumma (qui a depuis rejoint Manchester City) évoquait un groupe « très fatigué » après les efforts de la Coupe du monde des clubs.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : certains internationaux parisiens ont disputé plus de 50 matchs depuis l'été dernier, à l'image d'Achraf Hakimi qui en compte 65 entre le PSG et l'équipe du Maroc. Cette cadence effrénée inquiète Lucas Hernandez, qui connaît bien les risques liés à la surcharge physique après ses deux ruptures des ligaments croisés.
« Le plus important, c'est d'essayer de récupérer le physique le plus rapidement possible. Je pense qu'au fur et à mesure des semaines, avec les entraînements et les enchaînements des matchs, on va récupérer ça », espère le défenseur de 29 ans.
Malgré ces difficultés physiques, le PSG a réussi ses premiers rendez-vous de la saison en remportant la SuperCoupe d'Europe face à Tottenham et en s'imposant à trois reprises en Ligue 1.
Ces propos interviennent dans un contexte particulier pour le PSG, qui sort d'une saison historique marquée par la conquête de la Ligue des champions et qui a dû enchaîner avec la Coupe du monde des clubs jusqu'en juillet. Un calendrier qui a considérablement réduit la période de récupération des hommes de Luis Enrique.
L'ancien défenseur du Bayern Munich pointe du doigt les conséquences d'un calendrier surchargé sur la condition physique de l'équipe. « Ça a été un été très court, on n'a pas eu beaucoup de préparation, mais on essaye de récupérer nos jambes », avait-il déjà confié après la victoire contre Nantes en août.
Une inquiétude partagée par l'ensemble des joueurs du PSG durant l'été. Vitinha avait notamment admis : « Oui, il y a de la fatigue, je pense que ça se voit », tandis que Gianluigi Donnarumma (qui a depuis rejoint Manchester City) évoquait un groupe « très fatigué » après les efforts de la Coupe du monde des clubs.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : certains internationaux parisiens ont disputé plus de 50 matchs depuis l'été dernier, à l'image d'Achraf Hakimi qui en compte 65 entre le PSG et l'équipe du Maroc. Cette cadence effrénée inquiète Lucas Hernandez, qui connaît bien les risques liés à la surcharge physique après ses deux ruptures des ligaments croisés.
« Le plus important, c'est d'essayer de récupérer le physique le plus rapidement possible. Je pense qu'au fur et à mesure des semaines, avec les entraînements et les enchaînements des matchs, on va récupérer ça », espère le défenseur de 29 ans.
Malgré ces difficultés physiques, le PSG a réussi ses premiers rendez-vous de la saison en remportant la SuperCoupe d'Europe face à Tottenham et en s'imposant à trois reprises en Ligue 1.
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