De retour en Ligue 1 après huit ans passés outre-Manche, Odsonne Edouard n'a pas tardé à se faire un nom à Bollaert. L'attaquant de 27 ans a déjà inscrit cinq buts en douze journées avec les Sang et Or. Mais au-delà des statistiques, c'est surtout le bouillonnement du public artésien qui l'a marqué.
Interrogé récemment en conférence de presse, l'ancien buteur du Celtic Glasgow a établi une comparaison très flatteuse envers l'antre des Sang et Or. "Le Celtic Park et Bollaert, c'est la même chose : une ambiance de feu", a-t-il déclaré. Pour lui, les deux enceintes se valent en termes d'intensité. "Franchement, les deux, c'est une ambiance incroyable", a-t-il précisé.
Une affirmation qui ne surprendra pas les habitués de Bollaert-Delelis. Les 38 000 places du stade artésien vibrent au rythme de chaque action offensive. Edouard, qui a connu les 60 000 spectateurs écossais du Celtic Park entre 2017 et 2021, sait de quoi il parle. Là-bas, il avait inscrit 87 buts en 179 apparitions, devenant l'un des chouchou du public glaswégien.
Aujourd'hui à Lens, l'attaquant français semble avoir retrouvé ses sensations. Ses célébrations, mains derrière les oreilles, illustrent bien son envie d'écouter la ferveur lensoise. "C'est l'adrénaline de marquer qui me motive, il faut que je continue pour aider l'équipe", avait-il confié début novembre.
Formé au PSG mais jamais utilisé par le club parisien, Edouard avait été prêté à Toulouse en 2016-2017 sans convaincre. Son départ en Ecosse lui avait permis d'exploser, avant un passage plus mitigé à Crystal Palace (2021-2025). Son retour en France cet été pour 4 millions d'euros marque un nouveau chapitre.
Arrivé tardivement dans l'Artois avec une préparation tronquée, le numéro 11 Sang et Or affirme n'être qu'à "70% de ses capacités". De quoi laisser présager encore de belles performances devant un public qu'il considère désormais à la hauteur des légendes écossaises.
Interrogé récemment en conférence de presse, l'ancien buteur du Celtic Glasgow a établi une comparaison très flatteuse envers l'antre des Sang et Or. "Le Celtic Park et Bollaert, c'est la même chose : une ambiance de feu", a-t-il déclaré. Pour lui, les deux enceintes se valent en termes d'intensité. "Franchement, les deux, c'est une ambiance incroyable", a-t-il précisé.
Une affirmation qui ne surprendra pas les habitués de Bollaert-Delelis. Les 38 000 places du stade artésien vibrent au rythme de chaque action offensive. Edouard, qui a connu les 60 000 spectateurs écossais du Celtic Park entre 2017 et 2021, sait de quoi il parle. Là-bas, il avait inscrit 87 buts en 179 apparitions, devenant l'un des chouchou du public glaswégien.
Aujourd'hui à Lens, l'attaquant français semble avoir retrouvé ses sensations. Ses célébrations, mains derrière les oreilles, illustrent bien son envie d'écouter la ferveur lensoise. "C'est l'adrénaline de marquer qui me motive, il faut que je continue pour aider l'équipe", avait-il confié début novembre.
Formé au PSG mais jamais utilisé par le club parisien, Edouard avait été prêté à Toulouse en 2016-2017 sans convaincre. Son départ en Ecosse lui avait permis d'exploser, avant un passage plus mitigé à Crystal Palace (2021-2025). Son retour en France cet été pour 4 millions d'euros marque un nouveau chapitre.
Arrivé tardivement dans l'Artois avec une préparation tronquée, le numéro 11 Sang et Or affirme n'être qu'à "70% de ses capacités". De quoi laisser présager encore de belles performances devant un public qu'il considère désormais à la hauteur des légendes écossaises.