L'OGC Nice s’enlise dans une grosse crise sportive. Battu jeudi 27 novembre à Porto (3-0), le Gym a signé une cinquième défaite consécutive en Ligue Europa et une 17e rencontre européenne sans victoire, un record historique. Pourtant, malgré cette spirale infernale, le portier Yehvann Diouf a choisi de briser le mur des silences. Il a apporté timidement son soutien à Franck Haise, dont la position semble de plus en plus précaire, et dédouane son coach d'être le seul responsable de cette mauvaise passe.
« Non, mais ce n’est pas lui le problème, c’est tout le monde », a lâché le gardien en zone mixte. Une phrase qui résume l’état d’esprit d’un groupe sous pression. Diouf, arrivé cet été en provenance de Reims, a insisté sur l’unité nécessaire : « On est tous dans le même bateau, le coach, les joueurs. On sait que tout n’est pas parfait de notre côté ».
Le contexte est tendu. Après l’humiliation subie à domicile contre l’OM (1-5), Franck Haise avait lui-même suggéré à ses dirigeants de servir d’« électrochoc ». Une formule diplomatique pour offrir sa tête. Mais le club, qui l’a prolongé jusqu’en 2029, a refusé. Le président Fabrice Bocquet voit le licenciement comme une option coûteuse et symboliquement dommageable.
« Non, mais ce n’est pas lui le problème, c’est tout le monde », a lâché le gardien en zone mixte. Une phrase qui résume l’état d’esprit d’un groupe sous pression. Diouf, arrivé cet été en provenance de Reims, a insisté sur l’unité nécessaire : « On est tous dans le même bateau, le coach, les joueurs. On sait que tout n’est pas parfait de notre côté ».
Le contexte est tendu. Après l’humiliation subie à domicile contre l’OM (1-5), Franck Haise avait lui-même suggéré à ses dirigeants de servir d’« électrochoc ». Une formule diplomatique pour offrir sa tête. Mais le club, qui l’a prolongé jusqu’en 2029, a refusé. Le président Fabrice Bocquet voit le licenciement comme une option coûteuse et symboliquement dommageable.
« On a vraiment à cœur de faire au mieux » : le vestiaire niçois reste-t-il vraiment derrière son coach ?
Les tensions sont palpables. Selon JeunesFooteux, le discours de Haise aurait « crispé » une partie du vestiaire. Des proches de joueurs assurent même qu’il aurait « perdu la moitié du vestiaire avec sa com ». Les critiques répétées sur le niveau de l’effectif, les remises en cause des ambitions du club, laissent des traces.
Pourtant, Diouf refuse l’idée d’un coach isolé. « On essaye de faire au mieux, lui aussi. On est concerné par ce qu’il dit », a-t-il affirmé. Le gardien sénégalais martèle l’importance de la cohésion : « On a vraiment à cœur de faire au mieux pour sortir de cette situation. Et comme je l’ai dit, on est ensemble ».
Cette solidarité affichée contraste avec les rumeurs de fracture. Nice Matin souligne que le groupe a mal réagi aux changements tactiques contre l’OM, où Haise a improvisé un pressing haut sans préparation. La défaite à Porto, avec un but encaissé après 19 secondes, a confirmé le doute. Les supporters ont quitté le stade avant la mi-temps.
Le prochain match est déjà décisif. Dimanche 30 novembre, Nice se déplace à Lorient. Une victoire est impérative pour enrayer la série noire. Pour Diouf, l’enjeu est clair : « Chaque défaite fait mal… ne pas avoir gagné pendant 17 matchs, c’est d’autant plus rageant ». Le gardien veut croire au retour. Son soutien à Haise est un message au reste du groupe : l’union reste la seule issue.
Pourtant, Diouf refuse l’idée d’un coach isolé. « On essaye de faire au mieux, lui aussi. On est concerné par ce qu’il dit », a-t-il affirmé. Le gardien sénégalais martèle l’importance de la cohésion : « On a vraiment à cœur de faire au mieux pour sortir de cette situation. Et comme je l’ai dit, on est ensemble ».
Cette solidarité affichée contraste avec les rumeurs de fracture. Nice Matin souligne que le groupe a mal réagi aux changements tactiques contre l’OM, où Haise a improvisé un pressing haut sans préparation. La défaite à Porto, avec un but encaissé après 19 secondes, a confirmé le doute. Les supporters ont quitté le stade avant la mi-temps.
Le prochain match est déjà décisif. Dimanche 30 novembre, Nice se déplace à Lorient. Une victoire est impérative pour enrayer la série noire. Pour Diouf, l’enjeu est clair : « Chaque défaite fait mal… ne pas avoir gagné pendant 17 matchs, c’est d’autant plus rageant ». Le gardien veut croire au retour. Son soutien à Haise est un message au reste du groupe : l’union reste la seule issue.