L'OM s'est incliné mercredi soir face à l'Atalanta (0-1) dans une ambiance de scandale arbitral. Mais Samir Nasri n'a pas choisi la facilité. Sur le plateau de Canal+, l'ancien Marseillais a balayé les excuses trop simples. Son analyse tranche avec la colère ambiante.
Samir Nasri ne mâche pas ses mots. Il affirme que "l'arbitrage n'a pas été à la hauteur, mais dans tous les sens". Le but refusé à Lookman à la 69e minute ? Incompréhensible pour lui. La main d'Ederson non sifflée avant le but italien ? Litigieuse.
Pourtant, il refuse le discours victimaire. "Les Marseillais ont raté leur match. Il ne faut pas s'en prendre à l'arbitrage", tranche-t-il. Une position qui détonne alors que tout le Vélodrome hurlait au scandale.
L'analyse va plus loin. "Ils ont commencé à jouer à 10 minutes de la fin du match, ils étaient en retard sur tout", lâche Nasri. Une sévérité qui s'explique par la pauvreté du jeu marseillais.
Roberto De Zerbi et Mehdi Benatia pointaient la main d'Ederson. Nasri, lui, regarde ailleurs. Vers les 45 premières minutes catastrophiques. Vers ce manque d'intensité. Vers cette équipe incapable d'emballer la partie.
Nasri va encore plus loin : "L'arbitrage leur a servi à un certain moment. Sur l'action du but c'est litigieux, mais on ne peut pas remettre en cause l'arbitrage", déclare-t-il. Une allusion au penalty arrêté par Rulli en première période et au but de Lookman annulé.
Cette lecture équilibrée tranche avec l'ambiance. Pendant que tout le monde criait au vol, Nasri rappelait une vérité : Marseille n'a créé aucune occasion. L'Atalanta méritait sa victoire.
Entre arbitrage défaillant et performance médiocre, Samir Nasri a choisi son camp. Celui de la lucidité. Marseille est virtuellement éliminé avec trois défaites en quatre matchs. La 25e place au classement ne ment pas. Et les excuses non plus.
Samir Nasri ne mâche pas ses mots. Il affirme que "l'arbitrage n'a pas été à la hauteur, mais dans tous les sens". Le but refusé à Lookman à la 69e minute ? Incompréhensible pour lui. La main d'Ederson non sifflée avant le but italien ? Litigieuse.
Pourtant, il refuse le discours victimaire. "Les Marseillais ont raté leur match. Il ne faut pas s'en prendre à l'arbitrage", tranche-t-il. Une position qui détonne alors que tout le Vélodrome hurlait au scandale.
L'analyse va plus loin. "Ils ont commencé à jouer à 10 minutes de la fin du match, ils étaient en retard sur tout", lâche Nasri. Une sévérité qui s'explique par la pauvreté du jeu marseillais.
Roberto De Zerbi et Mehdi Benatia pointaient la main d'Ederson. Nasri, lui, regarde ailleurs. Vers les 45 premières minutes catastrophiques. Vers ce manque d'intensité. Vers cette équipe incapable d'emballer la partie.
Nasri va encore plus loin : "L'arbitrage leur a servi à un certain moment. Sur l'action du but c'est litigieux, mais on ne peut pas remettre en cause l'arbitrage", déclare-t-il. Une allusion au penalty arrêté par Rulli en première période et au but de Lookman annulé.
Cette lecture équilibrée tranche avec l'ambiance. Pendant que tout le monde criait au vol, Nasri rappelait une vérité : Marseille n'a créé aucune occasion. L'Atalanta méritait sa victoire.
Entre arbitrage défaillant et performance médiocre, Samir Nasri a choisi son camp. Celui de la lucidité. Marseille est virtuellement éliminé avec trois défaites en quatre matchs. La 25e place au classement ne ment pas. Et les excuses non plus.