Il y a des décisions qui laissent un goût amer, surtout quand cela semble tellement injuste. Pour Nancy, la joie retrouvée de la Ligue 2 s’est transformée en frustration. Quatre matches à huis clos, c’est l’équivalent d’un marathon sans public, d’une fête sans musique. Un vrai crève-cœur pour les supporters nancéiens.
Le 18 avril dernier, le stade Marcel-Picot vibrait pour le 15e anniversaire des Saturdays FC. Feux d’artifice, près de 250 fumigènes allumés : la passion était là, mais la sanction est tombée, implacable. La FFF n’a pas fait dans la demi-mesure, rappelant à tous que la ferveur a ses limites et que le règlement prime, même quand l’intention est festive. Pour Nancy, qui vient de lancer sa campagne d’abonnements, c’est un vrai casse-tête : comment motiver les fans privés de stade pour soutenir leur équipe à distance ?
Au-delà de la sanction, c’est tout le foot français qui est prévenu : la tolérance zéro est de mise. Dommage ...
Le 18 avril dernier, le stade Marcel-Picot vibrait pour le 15e anniversaire des Saturdays FC. Feux d’artifice, près de 250 fumigènes allumés : la passion était là, mais la sanction est tombée, implacable. La FFF n’a pas fait dans la demi-mesure, rappelant à tous que la ferveur a ses limites et que le règlement prime, même quand l’intention est festive. Pour Nancy, qui vient de lancer sa campagne d’abonnements, c’est un vrai casse-tête : comment motiver les fans privés de stade pour soutenir leur équipe à distance ?
Au-delà de la sanction, c’est tout le foot français qui est prévenu : la tolérance zéro est de mise. Dommage ...