À l’approche de la fin du mercato estival, la concurrence s’intensifie pour Lucas Michal, attaquant de 20 ans sous contrat avec l’AS Monaco jusqu’en 2029. Le FC Nantes et le Stade Brestois sont en pole position pour s’attacher les services du jeune international Espoirs français, qui aspire à plus de temps de jeu après une dernière saison marquée par seulement 13 apparitions toutes compétitions confondues.
Le FC Nantes, soucieux d'apporter de la densité à son attaque, a, selon L'Equipe, transmis une offre de prêt avec option d’achat fixée à 2,5M€. Cet intérêt s’inscrit dans la volonté des Canaris de miser sur de jeunes talents dont l’intégration permettrait de remuscler leur secteur offensif.
De son côté, Brest propose un transfert sec d’un montant de 2M€, gage d’un engagement immédiat et définitif. Cette formule séduit davantage les dirigeants monégasques, qui privilégient une vente directe pour répondre à leurs impératifs financiers, même si le montant est assez faible.
Sous-utilisé par Adi Hütter et en quête de responsabilités, Michal a émis le souhait de partir, mais Monaco demeure prudent quant à un départ. Sa prolongation jusqu’en 2029 en février dernier place le club en position de force et pourrait retarder la décision finale. La situation reste ouverte, les négociations se poursuivent alors que les sollicitations françaises s’accélèrent et d’autres clubs, comme le FC Metz, restent également à l’affût.
Le FC Nantes, soucieux d'apporter de la densité à son attaque, a, selon L'Equipe, transmis une offre de prêt avec option d’achat fixée à 2,5M€. Cet intérêt s’inscrit dans la volonté des Canaris de miser sur de jeunes talents dont l’intégration permettrait de remuscler leur secteur offensif.
De son côté, Brest propose un transfert sec d’un montant de 2M€, gage d’un engagement immédiat et définitif. Cette formule séduit davantage les dirigeants monégasques, qui privilégient une vente directe pour répondre à leurs impératifs financiers, même si le montant est assez faible.
Sous-utilisé par Adi Hütter et en quête de responsabilités, Michal a émis le souhait de partir, mais Monaco demeure prudent quant à un départ. Sa prolongation jusqu’en 2029 en février dernier place le club en position de force et pourrait retarder la décision finale. La situation reste ouverte, les négociations se poursuivent alors que les sollicitations françaises s’accélèrent et d’autres clubs, comme le FC Metz, restent également à l’affût.