Quatrième dans la hiérarchie des gardiens turcs en sélection, Berke Özer (25 ans) titulaire dans le onze de Bruno Genesio au LOSC, n'a pas digéré sa relégation en tribunes lors de la large victoire contre la Bulgarie (6-1). Selon les médias turcs, le portier lillois a donc décidé de quitter le camp d'entraînement à Istanbul sans autorisation officielle, provoquant l'ire de la Fédération.
La réaction n'a pas tardé. Dans un communiqué au vitriol, la Fédération turque a fustigé "un comportement inacceptable". "Alors que nous nous efforçons avec détermination de nous qualifier pour la Coupe du monde, un tel comportement est inacceptable", peut-on lire dans le communiqué officiel.
Berke Özer n'est pourtant pas resté silencieux. Sur Instagram, le héros des trois penalties face à l'AS Rome s'est longuement expliqué. "Avant de rejoindre le stage de l'équipe nationale, j'ai partagé ma douleur et ma situation avec notre équipe technique", a-t-il écrit. Le gardien assure avoir obtenu l'accord du staff pour rentrer en France : "Avec l'accord et la permission du staff technique et administratif, j'ai volontairement quitté le camp".
Une version que conteste formellement la Fédération turque. Selon RMC Sport, l'instance dirigeante affirme qu'Özer "a quitté notre centre d'entraînement sans l'autorisation de notre encadrement technique et administratif".
La situation de Berke Özer en sélection turque reflète une forte concurrence qui n'est pas forcément équitable. Vincenzo Montella privilégie actuellement Ugurcan Çakır (Galatasaray) comme numéro un, avec Altay Bayındır (Manchester United) et Mert Günok (Besiktas) en backup sur le banc. Cette hiérarchie laisse le portier lillois en dernière position, malgré ses récentes performances européennes.
Le timing de cette polémique tombe particulièrement mal pour la Turquie, actuellement deuxième du groupe E des éliminatoires du Mondial 2026 derrière l'Espagne. Vincenzo Montella a immédiatement fait appel à Muhammed Şengezer (Istanbul Başakşehir) pour remplacer Özer.
La réaction n'a pas tardé. Dans un communiqué au vitriol, la Fédération turque a fustigé "un comportement inacceptable". "Alors que nous nous efforçons avec détermination de nous qualifier pour la Coupe du monde, un tel comportement est inacceptable", peut-on lire dans le communiqué officiel.
Berke Özer n'est pourtant pas resté silencieux. Sur Instagram, le héros des trois penalties face à l'AS Rome s'est longuement expliqué. "Avant de rejoindre le stage de l'équipe nationale, j'ai partagé ma douleur et ma situation avec notre équipe technique", a-t-il écrit. Le gardien assure avoir obtenu l'accord du staff pour rentrer en France : "Avec l'accord et la permission du staff technique et administratif, j'ai volontairement quitté le camp".
Une version que conteste formellement la Fédération turque. Selon RMC Sport, l'instance dirigeante affirme qu'Özer "a quitté notre centre d'entraînement sans l'autorisation de notre encadrement technique et administratif".
La situation de Berke Özer en sélection turque reflète une forte concurrence qui n'est pas forcément équitable. Vincenzo Montella privilégie actuellement Ugurcan Çakır (Galatasaray) comme numéro un, avec Altay Bayındır (Manchester United) et Mert Günok (Besiktas) en backup sur le banc. Cette hiérarchie laisse le portier lillois en dernière position, malgré ses récentes performances européennes.
Le timing de cette polémique tombe particulièrement mal pour la Turquie, actuellement deuxième du groupe E des éliminatoires du Mondial 2026 derrière l'Espagne. Vincenzo Montella a immédiatement fait appel à Muhammed Şengezer (Istanbul Başakşehir) pour remplacer Özer.