L'attaquant du LOSC Matias Fernandez-Pardo a décliné sa convocation avec les Espoirs espagnols pour cette trêve internationale d'octobre. Selon le journal AS, le joueur de 20 ans a contacté directement la Fédération espagnole pour demander "un temps de réflexion supplémentaire" concernant son avenir international.
Un avenir international plus facile avec la Belgique
Cette nouvelle hésitation surprend, car Fernandez-Pardo avait pourtant tranché publiquement en décembre 2024. Dans une interview accordée au journal madrilène Marca, il déclarait sans ambiguïté : "Je veux jouer avec l'Espagne. Il n'y a aucun doute là-dessus. S'ils me veulent, il n'y a aucun doute".
Le natif de Bruxelles avait même ajouté : "Mon cœur est toujours avec l'Espagne. Quand j'étais enfant, je regardais toujours les matchs de l'Espagne, comme la finale de 2012". Des mots forts qui semblaient clore définitivement le débat sur son choix de sélection.
Pourtant, neuf mois plus tard, l'ailier lillois remet tout en question. Une volte-face qui interroge sur les coulisses de ce dossier épineux. Selon plusieurs sources, Fernandez-Pardo aurait pris conscience qu'il serait plus difficile de faire son trou avec la Roja qu'avec les Diables Rouges.
La situation se complique par le profil atypique de Fernandez-Pardo. Né à Bruxelles d'un père espagnol et d'une mère italienne, il bénéficie d'une triple nationalité qui lui ouvre autant de portes que de questionnements.
Formé dans les catégories jeunes belges des U15 aux U19, il connaît parfaitement l'environnement des Diables Rouges. L'option italienne reste également ouverte grâce aux origines maternelles.
Cette richesse de choix, initialement perçue comme une "chance" par le joueur lui-même, se transforme aujourd'hui en véritable casse-tête. À 20 ans, Fernandez-Pardo se retrouve face à une décision qui conditionnera toute sa carrière internationale.
Le natif de Bruxelles avait même ajouté : "Mon cœur est toujours avec l'Espagne. Quand j'étais enfant, je regardais toujours les matchs de l'Espagne, comme la finale de 2012". Des mots forts qui semblaient clore définitivement le débat sur son choix de sélection.
Pourtant, neuf mois plus tard, l'ailier lillois remet tout en question. Une volte-face qui interroge sur les coulisses de ce dossier épineux. Selon plusieurs sources, Fernandez-Pardo aurait pris conscience qu'il serait plus difficile de faire son trou avec la Roja qu'avec les Diables Rouges.
La situation se complique par le profil atypique de Fernandez-Pardo. Né à Bruxelles d'un père espagnol et d'une mère italienne, il bénéficie d'une triple nationalité qui lui ouvre autant de portes que de questionnements.
Formé dans les catégories jeunes belges des U15 aux U19, il connaît parfaitement l'environnement des Diables Rouges. L'option italienne reste également ouverte grâce aux origines maternelles.
Cette richesse de choix, initialement perçue comme une "chance" par le joueur lui-même, se transforme aujourd'hui en véritable casse-tête. À 20 ans, Fernandez-Pardo se retrouve face à une décision qui conditionnera toute sa carrière internationale.