Un président lucide, prêt à passer le flambeau pour l’avenir du RC Lens
Joseph Oughourlian n’a jamais caché son ambition pour le Racing Club de Lens, mais il refuse de « se prendre pour ce qu’on n’est pas ». Dans une déclaration forte, le président artésien a affirmé : « Si un jour, il y avait un projet plus attrayant que le mien, avec plus de moyens financiers pour le club, qui s’inscrive dans la durée et avec un propriétaire plus stable, moi, je passerais le bâton ».
Cette sortie, survenue alors que le club vient d’officialiser le rachat du Stade Bollaert-Delelis, alimente les spéculations sur son avenir à la tête des Sang et Or. Oughourlian insiste : l’intérêt du club passe avant tout, même avant ses propres ambitions. Il ne cache pas les difficultés économiques qui pèsent sur le RC Lens, notamment l’incertitude autour des droits TV et la nécessité de maintenir un équilibre financier.
Pour Oughourlian, il s’agit de construire un projet durable, sans céder à la tentation de l’immédiateté ou de l’excès. « Il faut éviter, et c’est une maladie courante dans le football, de se prendre pour la grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf », martèle-t-il.
Cette sortie, survenue alors que le club vient d’officialiser le rachat du Stade Bollaert-Delelis, alimente les spéculations sur son avenir à la tête des Sang et Or. Oughourlian insiste : l’intérêt du club passe avant tout, même avant ses propres ambitions. Il ne cache pas les difficultés économiques qui pèsent sur le RC Lens, notamment l’incertitude autour des droits TV et la nécessité de maintenir un équilibre financier.
Pour Oughourlian, il s’agit de construire un projet durable, sans céder à la tentation de l’immédiateté ou de l’excès. « Il faut éviter, et c’est une maladie courante dans le football, de se prendre pour la grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf », martèle-t-il.
Un projet solide, mais des défis économiques à relever
L’acquisition du Stade Bollaert-Delelis marque une étape capitale : le RC Lens devient propriétaire de son antre, un symbole fort d’ancrage local et de développement économique. Oughourlian voit loin : il souhaite transformer Bollaert en « lieu de vie », ouvert au-delà des jours de match, tout en promettant de préserver l’identité populaire du club, notamment le nom du stade et l’accessibilité des places.
Mais l’heure est aussi aux réalités : le club doit faire face à une économie fragile, des droits TV incertains et l’absence de Coupe d’Europe. Des choix difficiles s’imposent, parfois au détriment des envies de conserver les meilleurs joueurs.
« Ce que je veux éviter, c’est de m’épuiser financièrement. Il faut veiller à l’équilibre économique, à l’équilibre financier. Parfois, cela impose des renoncements. Ce n’est pas facile à vivre », confie-t-il.
Joseph Oughourlian joue la carte de la transparence et de la responsabilité : s’il doit un jour passer le relais, ce sera pour le bien du RC Lens. Mais pour l’instant, le projet Sang et Or reste entre de bonnes mains, prêt à affronter les défis de demain.
Mais l’heure est aussi aux réalités : le club doit faire face à une économie fragile, des droits TV incertains et l’absence de Coupe d’Europe. Des choix difficiles s’imposent, parfois au détriment des envies de conserver les meilleurs joueurs.
« Ce que je veux éviter, c’est de m’épuiser financièrement. Il faut veiller à l’équilibre économique, à l’équilibre financier. Parfois, cela impose des renoncements. Ce n’est pas facile à vivre », confie-t-il.
Joseph Oughourlian joue la carte de la transparence et de la responsabilité : s’il doit un jour passer le relais, ce sera pour le bien du RC Lens. Mais pour l’instant, le projet Sang et Or reste entre de bonnes mains, prêt à affronter les défis de demain.