La Ligue 1 n’a pas fini de faire parler d’elle après la journée de lutte contre l’homophobie. La commission de discipline de la LFP va se pencher sur les cas de Nemanja Matic (OL), Ahmed Hassan (Le Havre) et Jonathan Gradit (RC Lens), tous trois pointés du doigt pour leurs gestes ou propos lors du dernier week-end de championnat.
Du côté de Lyon et du Havre, Matic et Hassan ont choisi de recouvrir le badge arc-en-ciel imposé sur la manche de leur maillot avec du sparadrap, affichant ainsi leur refus de s’associer à l’opération. Un geste qui rappelle celui de Mohamed Camara la saison passée, sanctionné de quatre matches de suspension. La commission de discipline, qui s’était déjà montrée ferme, pourrait bien frapper à nouveau pour marquer le coup.
À Lens, la situation est encore plus tendue : Jonathan Gradit est accusé d’avoir proféré une insulte homophobe à la mi-temps du match face à Monaco. Le club artésien a rapidement réagi en interne, retirant la prime d’éthique du joueur, reversée à la fondation du club pour des actions éducatives. Mais cela n’empêchera pas Gradit de devoir s’expliquer devant la commission, qui pourrait décider d’aller plus loin sur le plan disciplinaire.
La LFP entend ainsi rappeler que la lutte contre l’homophobie n’est pas négociable dans le football professionnel français. Verdict attendu dans les prochains jours, avec des sanctions qui pourraient faire date et servir d’exemple à l’ensemble du championnat.
Du côté de Lyon et du Havre, Matic et Hassan ont choisi de recouvrir le badge arc-en-ciel imposé sur la manche de leur maillot avec du sparadrap, affichant ainsi leur refus de s’associer à l’opération. Un geste qui rappelle celui de Mohamed Camara la saison passée, sanctionné de quatre matches de suspension. La commission de discipline, qui s’était déjà montrée ferme, pourrait bien frapper à nouveau pour marquer le coup.
À Lens, la situation est encore plus tendue : Jonathan Gradit est accusé d’avoir proféré une insulte homophobe à la mi-temps du match face à Monaco. Le club artésien a rapidement réagi en interne, retirant la prime d’éthique du joueur, reversée à la fondation du club pour des actions éducatives. Mais cela n’empêchera pas Gradit de devoir s’expliquer devant la commission, qui pourrait décider d’aller plus loin sur le plan disciplinaire.
La LFP entend ainsi rappeler que la lutte contre l’homophobie n’est pas négociable dans le football professionnel français. Verdict attendu dans les prochains jours, avec des sanctions qui pourraient faire date et servir d’exemple à l’ensemble du championnat.