L'accueil
Eirik Horneland voit grand pour l'AS Saint-Étienne. Dans une interview accordée au Progrès, l'entraîneur norvégien a dévoilé ses ambitions colossales pour le club du Forez, bien au-delà de la simple remontée en Ligue 1.
"Saint-Étienne est une équipe qui appartient à l'échelle européenne. Dans le futur, nous voulons ramener la famille de l'ASSE dans les compétitions européennes", a déclaré le technicien de 50 ans. Des mots qui tranchent avec la réalité actuelle des Verts, relégués en Ligue 2 après une saison dernière catastrophique.
Horneland ne se contente pas de viser haut sportivement. Il veut également redonner une âme aux Verts et reconnecter le club avec ses supporters. "Il s'agit maintenant de créer quelque chose de bien, de créer une certaine fierté à Saint-Étienne et dans ses environs. On veut créer du bon football et une bonne ambiance", précise-t-il.
L'ancien coach du SK Brann mise énormément sur l'atmosphère unique du stade Geoffroy-Guichard pour porter son projet. "J'ai beaucoup de bons souvenirs dans le football mais je pense que l'un des plus forts est au stade Geoffroy-Guichard, stade plein, jouer devant cette foule folle", confie-t-il avec émotion.
Conscient que le simple prestige du club ne suffira pas, Horneland mise sur le travail et l'intensité. "Le simple nom de l'ASSE ne nous fera pas gagner. Il faut plus de qualité, plus de stabilité dans la qualité", martèle-t-il.
Avec 25 millions d'euros investis cet été, les dirigeants ont donné les moyens de leurs ambitions à leur entraîneur. "Nous allons tous dans la même direction : propriétaire, direction, Loïc Perrin et le staff", souligne Horneland, satisfait de la cohésion en interne.
Cette déclaration d'intentions place une pression énorme sur les épaules du technicien norvégien, qui n'aura pas droit à l'erreur avec un tel budget en Ligue 2. Mais pour un homme qui rêve déjà de retrouver l'Europe avec les Verts, l'objectif minimum reste clair : remonter immédiatement dans l'élite du football français.
"Saint-Étienne est une équipe qui appartient à l'échelle européenne. Dans le futur, nous voulons ramener la famille de l'ASSE dans les compétitions européennes", a déclaré le technicien de 50 ans. Des mots qui tranchent avec la réalité actuelle des Verts, relégués en Ligue 2 après une saison dernière catastrophique.
Horneland ne se contente pas de viser haut sportivement. Il veut également redonner une âme aux Verts et reconnecter le club avec ses supporters. "Il s'agit maintenant de créer quelque chose de bien, de créer une certaine fierté à Saint-Étienne et dans ses environs. On veut créer du bon football et une bonne ambiance", précise-t-il.
L'ancien coach du SK Brann mise énormément sur l'atmosphère unique du stade Geoffroy-Guichard pour porter son projet. "J'ai beaucoup de bons souvenirs dans le football mais je pense que l'un des plus forts est au stade Geoffroy-Guichard, stade plein, jouer devant cette foule folle", confie-t-il avec émotion.
Conscient que le simple prestige du club ne suffira pas, Horneland mise sur le travail et l'intensité. "Le simple nom de l'ASSE ne nous fera pas gagner. Il faut plus de qualité, plus de stabilité dans la qualité", martèle-t-il.
Avec 25 millions d'euros investis cet été, les dirigeants ont donné les moyens de leurs ambitions à leur entraîneur. "Nous allons tous dans la même direction : propriétaire, direction, Loïc Perrin et le staff", souligne Horneland, satisfait de la cohésion en interne.
Cette déclaration d'intentions place une pression énorme sur les épaules du technicien norvégien, qui n'aura pas droit à l'erreur avec un tel budget en Ligue 2. Mais pour un homme qui rêve déjà de retrouver l'Europe avec les Verts, l'objectif minimum reste clair : remonter immédiatement dans l'élite du football français.
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