Alors que son contrat expire en 2026, Himad Abdelli (25 ans) doit gérer un gros dilemme entre loyauté envers Angers et appels de l’élite. « Je n’ai pas l’impression d’arriver à la fin d’un cycle, j’aime ce club et j’y suis attaché », confie-t-il à Ouest France, sans pour autant fermer la porte à un départ.
Le LOSC toujours intéressé par Abdelli
Depuis son arrivée en 2022, Abdelli s’est imposé comme le cœur battant du SCO : 6 buts, 1 passe décisive et un taux de passes réussies à 86% cette saison. Malgré les offres – dont une proposition de 8M€ du LOSC refusée –, le joueur répète son attachement viscéral au projet angevin. « Ici, j’ai grandi sportivement. Les supporters m’ont adopté, c’est une deuxième famille », souligne-t-il.
Pourtant, il existerait une clause "verbale" à hauteur de 10 millions d'euros selon La Gazette du Fennec. En d'autres termes : si un club s'aligne sur cette "clause", le SCO ne retiendra pas Abdelli.
Si plusieurs clubs ont déjà tâté le terrain, le LOSC serait en pole pour Abdelli malgré le refus initial, prêt à rehausser son offre pour compenser le départ de Rémy Cabella.
Abdelli, lui, garde la tête froide : « Mon agent gère ça. Moi, je donne tout sur le terrain. » Une détermination saluée par les supporters, qui redoutent pourtant de voir leur idole s’envoler vers un destin européen.
Le SCO joue son va-tout : garder Abdelli serait un symbole fort, le vendre un aveu de réalité économique. Réponse cet été.
Pourtant, il existerait une clause "verbale" à hauteur de 10 millions d'euros selon La Gazette du Fennec. En d'autres termes : si un club s'aligne sur cette "clause", le SCO ne retiendra pas Abdelli.
Si plusieurs clubs ont déjà tâté le terrain, le LOSC serait en pole pour Abdelli malgré le refus initial, prêt à rehausser son offre pour compenser le départ de Rémy Cabella.
Abdelli, lui, garde la tête froide : « Mon agent gère ça. Moi, je donne tout sur le terrain. » Une détermination saluée par les supporters, qui redoutent pourtant de voir leur idole s’envoler vers un destin européen.
Le SCO joue son va-tout : garder Abdelli serait un symbole fort, le vendre un aveu de réalité économique. Réponse cet été.