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Nice, la défaite de trop pour Habib Beye
C'est terminé. Habib Beye n'est plus l'entraîneur du Stade Rennais. Selon Footmercato, le technicien sénégalais a été démis de ses fonctions ce lundi matin, au lendemain de la défaite à domicile contre l'OGC Nice (1-2).
La sentence est tombée dès le réveil. Après une nuit de réflexion (même si dans les esprits c'était acté avant), la direction bretonne a décidé de trancher. Arrivé en janvier dernier pour redresser la barre après le départ de Jorge Sampaoli, Beye n'aura survécu que dix mois sur le banc du Roazhon Park. Deux victoires en neuf journées de Ligue 1 cette saison, une dixième place au classement avec onze points, quatre nuls consécutifs puis cette défaite cruelle face aux Aiglons ont eu raison de sa patience.
Dimanche soir, pourtant, l'ancien latéral droit de l'OM se voulait confiant. « Mon avenir ? La question a déjà été posée depuis plusieurs semaines, et qu'elle se repose encore ne va rien changer ! La seule chose qui m'intéresse est ce que je vis au quotidien avec ce groupe », déclarait-il en conférence de presse. Trop tard. La direction, et notamment Guillaume Cerutti, nouveau président du conseil d'administration, avait déjà décidé.
Le paradoxe rennais est là. Après des investissements massifs depuis l'hiver dernier avec les arrivées de Brice Samba, Seko Fofana, Przemyslaw Frankowski, Estéban Lepaul ou encore Breel Embolo, le club devait viser le haut de tableau. Mais le compte n'y est pas que cela soit sur le plan comptable et dans le fond de jeu.
« Comment une équipe rennaise avec un tel effectif peut-elle se liquéfier systématiquement contre des formations logiquement accessibles sur le papier ? », s'interrogeait JeunesFooteux après le nul contre Auxerre. La question reste en suspens.
Habib Beye a tenté de garder le cap jusqu'au bout. « Je vis ma passion sans me poser la question de savoir si je suis menacé », assurait-il. Dans le vestiaire, Brice Samba avait pris sa défense dimanche : « On n'a pas lâché le coach, ça se voit de la façon dont on se comporte sur le terrain ».
Désormais, le Stade Rennais doit trouver un remplaçant rapidement. Selon Footmercato, plusieurs noms circulent déjà : Philippe Clément, ancien coach de Monaco, ou Wilfried Nancy, qui s'est fait un nom en MLS. Le timing est compliqué : mercredi soir, Rennes se déplace à Toulouse, puis reçoit Strasbourg dimanche.
La sentence est tombée dès le réveil. Après une nuit de réflexion (même si dans les esprits c'était acté avant), la direction bretonne a décidé de trancher. Arrivé en janvier dernier pour redresser la barre après le départ de Jorge Sampaoli, Beye n'aura survécu que dix mois sur le banc du Roazhon Park. Deux victoires en neuf journées de Ligue 1 cette saison, une dixième place au classement avec onze points, quatre nuls consécutifs puis cette défaite cruelle face aux Aiglons ont eu raison de sa patience.
Dimanche soir, pourtant, l'ancien latéral droit de l'OM se voulait confiant. « Mon avenir ? La question a déjà été posée depuis plusieurs semaines, et qu'elle se repose encore ne va rien changer ! La seule chose qui m'intéresse est ce que je vis au quotidien avec ce groupe », déclarait-il en conférence de presse. Trop tard. La direction, et notamment Guillaume Cerutti, nouveau président du conseil d'administration, avait déjà décidé.
Le paradoxe rennais est là. Après des investissements massifs depuis l'hiver dernier avec les arrivées de Brice Samba, Seko Fofana, Przemyslaw Frankowski, Estéban Lepaul ou encore Breel Embolo, le club devait viser le haut de tableau. Mais le compte n'y est pas que cela soit sur le plan comptable et dans le fond de jeu.
« Comment une équipe rennaise avec un tel effectif peut-elle se liquéfier systématiquement contre des formations logiquement accessibles sur le papier ? », s'interrogeait JeunesFooteux après le nul contre Auxerre. La question reste en suspens.
Habib Beye a tenté de garder le cap jusqu'au bout. « Je vis ma passion sans me poser la question de savoir si je suis menacé », assurait-il. Dans le vestiaire, Brice Samba avait pris sa défense dimanche : « On n'a pas lâché le coach, ça se voit de la façon dont on se comporte sur le terrain ».
Désormais, le Stade Rennais doit trouver un remplaçant rapidement. Selon Footmercato, plusieurs noms circulent déjà : Philippe Clément, ancien coach de Monaco, ou Wilfried Nancy, qui s'est fait un nom en MLS. Le timing est compliqué : mercredi soir, Rennes se déplace à Toulouse, puis reçoit Strasbourg dimanche.
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