Quarante-six ans après son dernier passage dans l'élite, le Paris FC ne compte pas faire de la figuration. Selon nos confrères de L'Équipe, le club parisien disposera d'un budget global compris entre 120 et 130 millions d'euros pour sa première saison en Ligue 1, dont 60 à 70 millions dédiés au mercato estival. Cette enveloppe exceptionnelle place d'emblée le promu dans les plus gros budgets de Ligue 1, derrière le Paris Saint-Germain, l'Olympique de Marseille et l'AS Monaco.
Cette puissance financière inédite pour un club promu s'explique par l'arrivée de la famille Arnault, première fortune de France, qui a racheté le club en novembre dernier avec l'appui stratégique de Red Bull. Antoine Arnault et les dirigeants du géant autrichien s'impliquent personnellement dans chaque recrutement, privilégiant un équilibre entre jeunesse prometteuse et expérience confirmée.
L'ambition affichée tranche avec la prudence généralisée du football français, secoué par la crise des droits télévisuels. Là où la plupart des clubs réduisent leurs dépenses, le Paris FC applique la philosophie inverse : "c'est en temps de crise qu'il faut investir". Cette approche contre-cyclique vise à sécuriser rapidement le maintien tout en nourrissant des ambitions plus élevées, avec l'objectif non avoué de terminer entre la sixième et la huitième place du championnat.
Les premières recrues témoignent de cette nouvelle dimension : 7 millions d'euros déboursés pour Moses Simon en provenance de Nantes, complétés par l'arrivée du prometteur Nhoa Sangui depuis Reims. Ces investissements initiaux ne représentent qu'un avant-goût de l'activité estivale prévue, avec sept à huit postes encore à pourvoir selon les besoins identifiés par Stéphane Gilli.
Cette manne financière transformera-t-elle immédiatement le Paris FC en outsider crédible de la Ligue 1, ou les nouveaux riches du football français devront-ils d'abord apprivoiser les codes de l'élite avant de rivaliser avec les cylindrées établies ?
Cette puissance financière inédite pour un club promu s'explique par l'arrivée de la famille Arnault, première fortune de France, qui a racheté le club en novembre dernier avec l'appui stratégique de Red Bull. Antoine Arnault et les dirigeants du géant autrichien s'impliquent personnellement dans chaque recrutement, privilégiant un équilibre entre jeunesse prometteuse et expérience confirmée.
L'ambition affichée tranche avec la prudence généralisée du football français, secoué par la crise des droits télévisuels. Là où la plupart des clubs réduisent leurs dépenses, le Paris FC applique la philosophie inverse : "c'est en temps de crise qu'il faut investir". Cette approche contre-cyclique vise à sécuriser rapidement le maintien tout en nourrissant des ambitions plus élevées, avec l'objectif non avoué de terminer entre la sixième et la huitième place du championnat.
Les premières recrues témoignent de cette nouvelle dimension : 7 millions d'euros déboursés pour Moses Simon en provenance de Nantes, complétés par l'arrivée du prometteur Nhoa Sangui depuis Reims. Ces investissements initiaux ne représentent qu'un avant-goût de l'activité estivale prévue, avec sept à huit postes encore à pourvoir selon les besoins identifiés par Stéphane Gilli.
Cette manne financière transformera-t-elle immédiatement le Paris FC en outsider crédible de la Ligue 1, ou les nouveaux riches du football français devront-ils d'abord apprivoiser les codes de l'élite avant de rivaliser avec les cylindrées établies ?