L'Allianz Riviera s'apprête à vivre une mutation sans précédent. Selon L'Équipe, le stade niçois accueillera deux patinoires pour le tournoi de hockey sur glace des JO d'hiver 2030. Une transformation spectaculaire qui nécessitera la construction d'un toit et contraindra l'OGC Nice à délocaliser ses matchs pendant six mois. Coût total de l'opération : 80 millions d'euros.
Le projet, dévoilé par Le Dauphiné Libéré, divise le stade en deux espaces distincts. D'un côté, la patinoire masculine avec 17 000 places. De l'autre, la patinoire féminine avec la même capacité. Une tribune centrale séparera les deux surfaces glacées. Pour protéger ces installations du climat méditerranéen, une bulle géante de 13 000 mètres carrés recouvrira l'ensemble.
Christian Estrosi défend ce choix audacieux. Comme l'indique Le Figaro, le maire de Nice juge cette solution "spectaculaire mais économe puisque c'est montable et démontable". L'installation temporaire permettra d'éviter la construction d'une enceinte permanente coûteuse.
Les travaux bouleverseront le calendrier niçois. Selon les informations relayées par Nice Matin, l'OGC Nice devra probablement délocaliser plusieurs matchs à Monaco pendant cette période. Une contrainte majeure pour le club, qui n'a jamais connu pareille situation depuis son installation dans ce stade inauguré en 2013.
Le budget fait grincer des dents. D'après plusieurs sources, le coût de transformation de l'Allianz Riviera atteindrait 80 millions d'euros. Ces dépenses s'ajoutent aux 10 millions d'euros prévus pour l'aménagement aux abords du stade. Certains élus et observateurs dénoncent une "folie budgétaire".
Nice accueillera 75 matchs de hockey sur glace lors des JO 2030. Le palais Nikaia hébergera les compétitions de curling. Une nouvelle patinoire pérenne de 10 000 places sera également construite dans la plaine du Var pour le patinage artistique et le short-track.
Cette infrastructure neuve constitue le seul équipement construit spécifiquement pour les Jeux. Elle remplacera la patinoire Jean-Bouin jugée obsolète et restera en héritage avec une jauge réduite à 5 000 places après l'événement.
Nice se positionne ainsi comme cluster incontournable des sports de glace pour 2030. Un pari audacieux qui obligera le Gym à composer avec six mois hors de ses murs, mais qui offrira à la capitale azuréenne une visibilité olympique sans précédent.
Le projet, dévoilé par Le Dauphiné Libéré, divise le stade en deux espaces distincts. D'un côté, la patinoire masculine avec 17 000 places. De l'autre, la patinoire féminine avec la même capacité. Une tribune centrale séparera les deux surfaces glacées. Pour protéger ces installations du climat méditerranéen, une bulle géante de 13 000 mètres carrés recouvrira l'ensemble.
Christian Estrosi défend ce choix audacieux. Comme l'indique Le Figaro, le maire de Nice juge cette solution "spectaculaire mais économe puisque c'est montable et démontable". L'installation temporaire permettra d'éviter la construction d'une enceinte permanente coûteuse.
Les travaux bouleverseront le calendrier niçois. Selon les informations relayées par Nice Matin, l'OGC Nice devra probablement délocaliser plusieurs matchs à Monaco pendant cette période. Une contrainte majeure pour le club, qui n'a jamais connu pareille situation depuis son installation dans ce stade inauguré en 2013.
Le budget fait grincer des dents. D'après plusieurs sources, le coût de transformation de l'Allianz Riviera atteindrait 80 millions d'euros. Ces dépenses s'ajoutent aux 10 millions d'euros prévus pour l'aménagement aux abords du stade. Certains élus et observateurs dénoncent une "folie budgétaire".
Nice accueillera 75 matchs de hockey sur glace lors des JO 2030. Le palais Nikaia hébergera les compétitions de curling. Une nouvelle patinoire pérenne de 10 000 places sera également construite dans la plaine du Var pour le patinage artistique et le short-track.
Cette infrastructure neuve constitue le seul équipement construit spécifiquement pour les Jeux. Elle remplacera la patinoire Jean-Bouin jugée obsolète et restera en héritage avec une jauge réduite à 5 000 places après l'événement.
Nice se positionne ainsi comme cluster incontournable des sports de glace pour 2030. Un pari audacieux qui obligera le Gym à composer avec six mois hors de ses murs, mais qui offrira à la capitale azuréenne une visibilité olympique sans précédent.